PSG - Paris SG
Cette saison 2023-2024 doit être celle de la rédemption pour l'AS Saint-Etienne. Après une première partie de saison dernière catastrophique, l'ASSE se devait de démarrer cet exercice 2023-2024 de manière bien plus positive afin de s'affirmer rapidement comme un concurrent à l'une des deux premières places synonymes de montée directe en Ligue 1.
Hélas, les Verts sont retombés dans leurs travers. Seulement 15ème de Ligue 2 au soir de la cinquième journée de championnat, le club stéphanois ne s'est imposé qu'à une reprise pour 2 nuls et 2 défaites, et compte déjà 7 points de retard sur Caen et Amiens.
Bien sûr les hommes de Laurent Batlles ne sont pas encore largués et peuvent rapidement recoller au wagon de tête en cas de belle série. Néanmoins, les leçons du passé ne semblent pas avoir été retenues.
Comment expliquer cela ? Un problème purement sportif ou mental ? Selon un ancien joueur de l'AS Saint-Etienne, le problème vient de plus haut.
Dans un entretien accordé au Progrès, Ivan Curkovic qui a joué à l'ASSE de 1972 à 1981, estime que le duo Bernard Caïazzo - Roland Romeyer est responsable de la mauvaise passe que traverse le club du Forez depuis plusieurs saisons. L'ancien président du Partizan Belgrade de 1989 à 2006, estime en effet qu'un club comme l'ASSE a besoin d'un "vrai" président présent au quotidien, qui sait s'entourer des bonnes personnes, ce qui n'est pas le cas selon le serbe.
"Je suis attristé par la situation du club. Il n’aurait jamais dû tomber en deuxième division. Ce n’est pas sa place. J’ai été pendant 18 ans président du Partizan Belgrade. Un président ne peut pas tout gérer. Sa principale qualité, c’est de savoir bien s’entourer et de savoir déléguer. Je ne sais pas si c’est le cas ici" a t'il déclaré avant de poursuivre.
"Pour diriger un club comme l’ASSE, il faut un président qui ait une stature. Il faut savoir entrer dans la tête des joueurs pour comprendre comment ils fonctionnent. J’ai pu faire cela car j’avais été dans ce rôle auparavant. On ne peut pas diriger un club à distance. C’est un investissement quotidien. Il faut inspirer le respect, la légitimité et, je le répète, savoir bien s’entourer"
En d'autres termes, Romeyer et Caïazzo n'ont pas la stature pour diriger un club comme l'AS Saint-Etienne. Rien de nouveau au final ...
Hélas, les Verts sont retombés dans leurs travers. Seulement 15ème de Ligue 2 au soir de la cinquième journée de championnat, le club stéphanois ne s'est imposé qu'à une reprise pour 2 nuls et 2 défaites, et compte déjà 7 points de retard sur Caen et Amiens.
Bien sûr les hommes de Laurent Batlles ne sont pas encore largués et peuvent rapidement recoller au wagon de tête en cas de belle série. Néanmoins, les leçons du passé ne semblent pas avoir été retenues.
Comment expliquer cela ? Un problème purement sportif ou mental ? Selon un ancien joueur de l'AS Saint-Etienne, le problème vient de plus haut.
Dans un entretien accordé au Progrès, Ivan Curkovic qui a joué à l'ASSE de 1972 à 1981, estime que le duo Bernard Caïazzo - Roland Romeyer est responsable de la mauvaise passe que traverse le club du Forez depuis plusieurs saisons. L'ancien président du Partizan Belgrade de 1989 à 2006, estime en effet qu'un club comme l'ASSE a besoin d'un "vrai" président présent au quotidien, qui sait s'entourer des bonnes personnes, ce qui n'est pas le cas selon le serbe.
"Je suis attristé par la situation du club. Il n’aurait jamais dû tomber en deuxième division. Ce n’est pas sa place. J’ai été pendant 18 ans président du Partizan Belgrade. Un président ne peut pas tout gérer. Sa principale qualité, c’est de savoir bien s’entourer et de savoir déléguer. Je ne sais pas si c’est le cas ici" a t'il déclaré avant de poursuivre.
"Pour diriger un club comme l’ASSE, il faut un président qui ait une stature. Il faut savoir entrer dans la tête des joueurs pour comprendre comment ils fonctionnent. J’ai pu faire cela car j’avais été dans ce rôle auparavant. On ne peut pas diriger un club à distance. C’est un investissement quotidien. Il faut inspirer le respect, la légitimité et, je le répète, savoir bien s’entourer"
En d'autres termes, Romeyer et Caïazzo n'ont pas la stature pour diriger un club comme l'AS Saint-Etienne. Rien de nouveau au final ...
