Ancelotti, le “président’s dream” en route vers la Seleção
Si rien ne vient enrayer la machine, Carlo Ancelotti s’apprête à quitter le Real Madrid pour prendre les rênes du Brésil, une première dans l’histoire de la Seleção qui n’a jamais confié son destin à un entraîneur européen. L’optimisme règne à la Confédération brésilienne de football (CBF), où le staff technique du technicien italien est déjà en partie constitué : son fils Davide Ancelotti l’accompagnera, tout comme Francesco Mauri, et un préparateur physique brésilien sera intégré au staff. Ancelotti a également demandé la présence d’un ancien international auriverde, le nom de Juan circulant avec insistance.
La CBF souhaite officialiser son arrivée avant l’annonce de la liste pour les éliminatoires du Mondial 2026, début juin. Le président Ednaldo Rodrigues a fait d’Ancelotti sa priorité absolue, convaincu que l’expérience et le palmarès du “Mister” peuvent redonner à la Seleção le lustre mondial qu’elle recherche depuis 2002.
La CBF souhaite officialiser son arrivée avant l’annonce de la liste pour les éliminatoires du Mondial 2026, début juin. Le président Ednaldo Rodrigues a fait d’Ancelotti sa priorité absolue, convaincu que l’expérience et le palmarès du “Mister” peuvent redonner à la Seleção le lustre mondial qu’elle recherche depuis 2002.
Un défi immense, un héritage à bâtir
Le parcours d’Ancelotti à Madrid touche à sa fin, le club merengue étant prêt à tourner la page après une saison marquée par une élimination en Ligue des Champions et surtout une triste défaite face au FC Barcelone en finale de Coupe du Roi : triste dans le sens où les joueurs Merengue, à l'image de Antonio Rudiger, ont totalement vrillé mentalement.
Pour l’Italien, ce défi est colossal : prendre en main une équipe en quête de repères, redonner confiance à une génération talentueuse mais en manque de résultats. Ses liens forts avec les Brésiliens du Real (Vinicius, Rodrygo, Militao, Endrick) pourraient faciliter la transition.
Si tout se passe comme prévu, Ancelotti deviendra le premier non-Brésilien à guider la Seleção depuis 1965. Un pari audacieux : le mariage entre le plus grand palmarès d’entraîneur et la nation la plus titrée de l’histoire promet des étincelles.
Pour l’Italien, ce défi est colossal : prendre en main une équipe en quête de repères, redonner confiance à une génération talentueuse mais en manque de résultats. Ses liens forts avec les Brésiliens du Real (Vinicius, Rodrygo, Militao, Endrick) pourraient faciliter la transition.
Si tout se passe comme prévu, Ancelotti deviendra le premier non-Brésilien à guider la Seleção depuis 1965. Un pari audacieux : le mariage entre le plus grand palmarès d’entraîneur et la nation la plus titrée de l’histoire promet des étincelles.
