L’Olympique Lyonnais a évité la relégation de justesse, mais le club entre dans une nouvelle ère de rigueur et de vigilance financière.
Pour convaincre la DNCG et annuler sa rétrogradation en Ligue 2, l’OL a, selon L'Equipe, présenté un plan solide : 87 millions d’euros en cash immédiatement injectés, complétés par 37 millions d’euros de garanties financières. Contrairement aux précédentes auditions, ces fonds étaient bel et bien palpables, déposés sur les comptes du club, et non de simples promesses ou lettres d’intention que John Textor avait l'habitude d'offrir comme garanties. Ce montage financier, bien que proche des montants annoncés en première instance, a rassuré les instances de contrôle.
Ce changement de stratégie s’est accompagné d’une révolution en interne. Michele Kang, nouvelle présidente, a mené la délégation lyonnaise et obtenu la confiance de la DNCG en promettant que John Textor, propriétaire contesté, était définitivement écarté du projet. Cette garantie a pesé dans la balance, alors que la gestion de Textor avait été pointée du doigt pour son manque de clarté et sa gestion des flux financiers entre les clubs du groupe Eagle.
La validation du maintien en Ligue 1 ne s’est pas faite sans contreparties. L’OL devra composer avec un encadrement strict de sa masse salariale et de ses indemnités de transfert. Les dirigeants sont désormais contraints à une gestion prudente, avec pour objectif de retrouver l’équilibre budgétaire dès la saison prochaine. Plusieurs ventes de joueurs majeurs sont attendues pour répondre à ces exigences, tandis que les investissements seront limités.
Ce plan d’urgence, inédit dans l’histoire du club, témoigne de la gravité de la situation traversée par l’OL. Si la tempête semble passée, la vigilance reste de mise, notamment face à une dette structurelle élevée et à la nécessité de générer rapidement des revenus supplémentaires.
L’Olympique Lyonnais saura-t-il transformer ce sauvetage in extremis en un nouveau cycle vertueux, ou cette saison ne sera que le début d'une longue agonie plombée par une cure d'austérité sans précédent ?
Pour convaincre la DNCG et annuler sa rétrogradation en Ligue 2, l’OL a, selon L'Equipe, présenté un plan solide : 87 millions d’euros en cash immédiatement injectés, complétés par 37 millions d’euros de garanties financières. Contrairement aux précédentes auditions, ces fonds étaient bel et bien palpables, déposés sur les comptes du club, et non de simples promesses ou lettres d’intention que John Textor avait l'habitude d'offrir comme garanties. Ce montage financier, bien que proche des montants annoncés en première instance, a rassuré les instances de contrôle.
Ce changement de stratégie s’est accompagné d’une révolution en interne. Michele Kang, nouvelle présidente, a mené la délégation lyonnaise et obtenu la confiance de la DNCG en promettant que John Textor, propriétaire contesté, était définitivement écarté du projet. Cette garantie a pesé dans la balance, alors que la gestion de Textor avait été pointée du doigt pour son manque de clarté et sa gestion des flux financiers entre les clubs du groupe Eagle.
La validation du maintien en Ligue 1 ne s’est pas faite sans contreparties. L’OL devra composer avec un encadrement strict de sa masse salariale et de ses indemnités de transfert. Les dirigeants sont désormais contraints à une gestion prudente, avec pour objectif de retrouver l’équilibre budgétaire dès la saison prochaine. Plusieurs ventes de joueurs majeurs sont attendues pour répondre à ces exigences, tandis que les investissements seront limités.
Ce plan d’urgence, inédit dans l’histoire du club, témoigne de la gravité de la situation traversée par l’OL. Si la tempête semble passée, la vigilance reste de mise, notamment face à une dette structurelle élevée et à la nécessité de générer rapidement des revenus supplémentaires.
L’Olympique Lyonnais saura-t-il transformer ce sauvetage in extremis en un nouveau cycle vertueux, ou cette saison ne sera que le début d'une longue agonie plombée par une cure d'austérité sans précédent ?
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