Neal Maupay n'est pas pressé de quitter l'OM, bien au contraire. Selon les révélations de La Provence, l'attaquant de 29 ans "n'a pas envie de changer de club car il a un gros contrat". Cette position inflexible explique pourquoi il a décliné toutes les offres reçues durant le mercato estival.
L'international français disposait pourtant d'options séduisantes. Selon le média provençal, l'Udinese était "décidé à l'engager définitivement", tandis que Sassuolo "a tout fait pour obtenir tous les accords nécessaires avec l'OM autour d'un prêt avec option d'achat". En Espagne, Séville, le Betis et le FC Valence avaient également songé à un prêt, sans succès.
Le nœud du problème réside dans les émoluments de l'ancien buteur d'Everton. Avec un salaire estimé à 300 000 euros par mois et un contrat courant jusqu'en 2028, soit quasiment 11 millions d'euros sur la période de trois ans, Maupay n'est pas pressé de quitter la Canebière. Cette rémunération XXL complique considérablement les négociations avec ses prétendants.
Anderlecht, dernier club en date à avoir manifesté son intérêt avant la fermeture du mercato belge, n'a pas pu s'aligner sur de tels montants. Le club bruxellois attendait un gros geste de l'OM pour débloquer le dossier, aide qui "n'était pas à l'ordre du jour" selon La Dernière Heure.
La direction marseillaise se retrouve dans une impasse avec son attaquant. Écarté de la liste pour la Ligue des Champions et non convoqué face à Rennes et Lyon, Maupay occupe désormais le quatrième rang dans la hiérarchie offensive derrière Aubameyang, Gouiri et Vaz.
Pablo Longoria et Mehdi Benatia n'excluraient pas de frapper fort en écartant Maupay (comme pour Chancel Mbemba) afin de lui mettre un gros coup de pression et donc l'inciter à quitter rapidement Marseille. Quelques marchés restent ouverts (Arabie Saoudite, Turquie, Qatar), mais ces destinations exotiques ne semblent pas attirer l'ancien Niçois.
Cette guerre d'usure pourrait durer jusqu'en janvier, voire jusqu'à l'été 2026, tant l'attaquant paraît déterminé à honorer son bail doré malgré l'absence totale de temps de jeu qui l'attend.
L'international français disposait pourtant d'options séduisantes. Selon le média provençal, l'Udinese était "décidé à l'engager définitivement", tandis que Sassuolo "a tout fait pour obtenir tous les accords nécessaires avec l'OM autour d'un prêt avec option d'achat". En Espagne, Séville, le Betis et le FC Valence avaient également songé à un prêt, sans succès.
Le nœud du problème réside dans les émoluments de l'ancien buteur d'Everton. Avec un salaire estimé à 300 000 euros par mois et un contrat courant jusqu'en 2028, soit quasiment 11 millions d'euros sur la période de trois ans, Maupay n'est pas pressé de quitter la Canebière. Cette rémunération XXL complique considérablement les négociations avec ses prétendants.
Anderlecht, dernier club en date à avoir manifesté son intérêt avant la fermeture du mercato belge, n'a pas pu s'aligner sur de tels montants. Le club bruxellois attendait un gros geste de l'OM pour débloquer le dossier, aide qui "n'était pas à l'ordre du jour" selon La Dernière Heure.
La direction marseillaise se retrouve dans une impasse avec son attaquant. Écarté de la liste pour la Ligue des Champions et non convoqué face à Rennes et Lyon, Maupay occupe désormais le quatrième rang dans la hiérarchie offensive derrière Aubameyang, Gouiri et Vaz.
Pablo Longoria et Mehdi Benatia n'excluraient pas de frapper fort en écartant Maupay (comme pour Chancel Mbemba) afin de lui mettre un gros coup de pression et donc l'inciter à quitter rapidement Marseille. Quelques marchés restent ouverts (Arabie Saoudite, Turquie, Qatar), mais ces destinations exotiques ne semblent pas attirer l'ancien Niçois.
Cette guerre d'usure pourrait durer jusqu'en janvier, voire jusqu'à l'été 2026, tant l'attaquant paraît déterminé à honorer son bail doré malgré l'absence totale de temps de jeu qui l'attend.