L'AJ Auxerre traverse une période particulièrement délicate en cette saison 2025-2026. Lanterne rouge de Ligue 1 avec seulement 7 points au compteur après 12 journées, le club bourguignon doit gérer une crise sportive majeure tout en composant avec des contraintes financières importantes. Une information révélée par L'Équipe vient compliquer la situation : un éventuel licenciement de Christophe Pelissier engendrerait un coût conséquent pour les finances du club.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. L'AJA n'a plus connu la victoire depuis sept matchs. Ce dimanche, la défaite à Angers (0-2) a enfoncé un peu plus les Icaunais dans la zone rouge. Quatre défaites consécutives sans marquer le moindre but, un bilan alarmant de deux victoires, un nul et neuf défaites cette saison.
Christophe Pelissier, pourtant artisan du retour du club en Ligue 1 et champion de Ligue 2 en 2024, se retrouve dans l'œil du cyclone. Son effectif, qui a perdu plusieurs cadres l'été dernier, peine à rivaliser avec les formations de l'élite.
Une situation qui met forcément Christophe Pélissier sur la sellette, à un tel point qu'on évoque une possible éviction lors de cette trêve internationale. Néanmoins, d'autres sources évoquent un sursis, qui pourrait être lié au coût d'une éventuelle éviction. Selon L'Equipe, un licenciement de Christophe Pelissier coûterait environ 2,5 millions d'euros à l'AJ Auxerre. Cette somme représente les indemnités liées à la rupture de son contrat, qui court jusqu'en juin 2027 avec une année supplémentaire en option.
Pour un club au budget estimé à 40 millions d'euros et affichant un résultat net déficitaire de près de 14 millions d'euros en 2024, cette facture potentielle complique sérieusement la prise de décision des dirigeants.
Paradoxalement, malgré les résultats désastreux, Pelissier bénéficie encore du soutien d'une bonne partie des supporters de l'AJA. Dimanche soir au stade Raymond Kopa d'Angers, le coach a été chaleureusement acclamé par les 450 supporters ayant fait le déplacement.
« On ne peut pas te demander d'être dixième ou douzième avec cet effectif », a lancé le capo des Ultras Auxerre. Un message clair pointant davantage les dirigeants et les moyens limités que l'entraîneur lui-même. Cette séquence forte illustre la complexité de la situation : un coach contesté sportivement mais soutenu émotionnellement.
De son côté, l'intéressé refuse de baisser les bras. « Il n'y a que les faibles qui lâchent dans la difficulté », a-t-il déclaré après la défaite d'Angers. Pelissier assume pleinement sa responsabilité et refuse catégoriquement toute démission, ce qui libérerait pourtant le club de ses indemnités.
« À l'heure actuelle, on a l'impression que rien ne tourne en notre faveur », a-t-il admis en conférence de presse. Le technicien pointe également du doigt certaines décisions arbitrales et la malchance qui semble s'acharner sur son équipe.
La direction auxerroise se retrouve face à une équation complexe. Conserver Pelissier malgré les mauvais résultats en espérant un rebond durant la trêve internationale, ou trancher dans le vif en acceptant de débourser 2,5 millions d'euros d'indemnités.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. L'AJA n'a plus connu la victoire depuis sept matchs. Ce dimanche, la défaite à Angers (0-2) a enfoncé un peu plus les Icaunais dans la zone rouge. Quatre défaites consécutives sans marquer le moindre but, un bilan alarmant de deux victoires, un nul et neuf défaites cette saison.
Christophe Pelissier, pourtant artisan du retour du club en Ligue 1 et champion de Ligue 2 en 2024, se retrouve dans l'œil du cyclone. Son effectif, qui a perdu plusieurs cadres l'été dernier, peine à rivaliser avec les formations de l'élite.
Une situation qui met forcément Christophe Pélissier sur la sellette, à un tel point qu'on évoque une possible éviction lors de cette trêve internationale. Néanmoins, d'autres sources évoquent un sursis, qui pourrait être lié au coût d'une éventuelle éviction. Selon L'Equipe, un licenciement de Christophe Pelissier coûterait environ 2,5 millions d'euros à l'AJ Auxerre. Cette somme représente les indemnités liées à la rupture de son contrat, qui court jusqu'en juin 2027 avec une année supplémentaire en option.
Pour un club au budget estimé à 40 millions d'euros et affichant un résultat net déficitaire de près de 14 millions d'euros en 2024, cette facture potentielle complique sérieusement la prise de décision des dirigeants.
Paradoxalement, malgré les résultats désastreux, Pelissier bénéficie encore du soutien d'une bonne partie des supporters de l'AJA. Dimanche soir au stade Raymond Kopa d'Angers, le coach a été chaleureusement acclamé par les 450 supporters ayant fait le déplacement.
« On ne peut pas te demander d'être dixième ou douzième avec cet effectif », a lancé le capo des Ultras Auxerre. Un message clair pointant davantage les dirigeants et les moyens limités que l'entraîneur lui-même. Cette séquence forte illustre la complexité de la situation : un coach contesté sportivement mais soutenu émotionnellement.
De son côté, l'intéressé refuse de baisser les bras. « Il n'y a que les faibles qui lâchent dans la difficulté », a-t-il déclaré après la défaite d'Angers. Pelissier assume pleinement sa responsabilité et refuse catégoriquement toute démission, ce qui libérerait pourtant le club de ses indemnités.
« À l'heure actuelle, on a l'impression que rien ne tourne en notre faveur », a-t-il admis en conférence de presse. Le technicien pointe également du doigt certaines décisions arbitrales et la malchance qui semble s'acharner sur son équipe.
La direction auxerroise se retrouve face à une équation complexe. Conserver Pelissier malgré les mauvais résultats en espérant un rebond durant la trêve internationale, ou trancher dans le vif en acceptant de débourser 2,5 millions d'euros d'indemnités.