L'AS Monaco a démarré l'année 2022 avec un nouvel entraineur de Philippe Clément. Un homme loin d'être un inconnu puisqu'il a dirigé le Club Bruges durant trois saisons, et qu'il a amené en Ligue des champions à plusieurs reprises, notamment cette année.
Mais après neuf matches, les critiques commencent à tomber sur le technicien de 47 ans. Victorieux à quatre reprises, son équipe reste deux nuls contre des équipes mal classées, (0-0 contre Lorient 16ème et 1-1 contre le dernier Bordeaux, ndlr) et une défaite à domicile contre Reims (2-1). Sans oublier l'élimination en demi-finale de Coupe de France à la Beaujoire, aux tirs au but contre Nantes. En conférence de presse, l'ex-défenseur a tenu à se défendre.
"Sur les quatre derniers matchs, nous avons manqué de réussite. Tout le monde a pu voir nos prestations, et constater que nous méritons de meilleurs résultats. Il y a encore 12 journées de championnat et chacune sera très importante (...) Il y a des choses positives dans le jeu mais les circonstances n'ont pas été favorables (...) Nous travaillons dur, et je suis certain que la réussite va tourner en notre faveur".
Si certains observateurs estiment qu'il est sur un siège éjectable, Philippe Clément réfute cette hypothèse. "Ça ne fait que huit semaines que je suis là, ce n'est pas beaucoup. On peut évaluer le travail d'un coach après six mois. C'est impossible de le juger après deux mois (...) Je ne ressens pas de pression parce que les dirigeants ont vu les matches".
Remporter le choc face à Marseille, deuxième, au Stade Louis II, dimanche 6 mars à 20h45, serait toutefois une bonne idée pour se rapprocher des places européennes.
Mais après neuf matches, les critiques commencent à tomber sur le technicien de 47 ans. Victorieux à quatre reprises, son équipe reste deux nuls contre des équipes mal classées, (0-0 contre Lorient 16ème et 1-1 contre le dernier Bordeaux, ndlr) et une défaite à domicile contre Reims (2-1). Sans oublier l'élimination en demi-finale de Coupe de France à la Beaujoire, aux tirs au but contre Nantes. En conférence de presse, l'ex-défenseur a tenu à se défendre.
"Sur les quatre derniers matchs, nous avons manqué de réussite. Tout le monde a pu voir nos prestations, et constater que nous méritons de meilleurs résultats. Il y a encore 12 journées de championnat et chacune sera très importante (...) Il y a des choses positives dans le jeu mais les circonstances n'ont pas été favorables (...) Nous travaillons dur, et je suis certain que la réussite va tourner en notre faveur".
"Je ne ressens pas de pression parce que les dirigeants ont vu les matches"
Si certains observateurs estiment qu'il est sur un siège éjectable, Philippe Clément réfute cette hypothèse. "Ça ne fait que huit semaines que je suis là, ce n'est pas beaucoup. On peut évaluer le travail d'un coach après six mois. C'est impossible de le juger après deux mois (...) Je ne ressens pas de pression parce que les dirigeants ont vu les matches".
Remporter le choc face à Marseille, deuxième, au Stade Louis II, dimanche 6 mars à 20h45, serait toutefois une bonne idée pour se rapprocher des places européennes.