L'euphorie n'est visiblement pas de mise sur le Rocher en cette fin d'année 2025, et Nöel n'a pas apporté son lot de bonnes surprises. Alors que les supporters espéraient peut-être un ajustement de l'effectif pour viser plus haut en seconde partie de saison, la direction monégasque semble avoir opté pour un virage économique drastique, transformant ce mercato hivernal en dégraissage.
La révélation fait l'effet d'une douche froide pour les amoureux de l'ASM. Comme l'a révélé le journaliste d'investigation Romain Molina, l'AS Monaco a activé le mode "grande braderie". L'objectif affiché en interne est limpide : il faut impérativement dégraisser, alléger une masse salariale jugée trop lourde et faire rentrer des liquidités dès le mois de janvier.
Cette nouvelle directive place la direction sportive dans une posture délicate. En clair, le robinet est fermé. Il ne faudra s'attendre à aucune arrivée majeure sans départ préalable significatif. Si le board monégasque assure rester à l'affût de bonnes opportunités de marché, notamment pour pallier la longue indisponibilité de l'international japonais Takumi Minamino, la marge de manœuvre est quasi inexistante. L'équation est simple mais brutale pour les ambitions du club : vendre avant d'acheter ou plutôt obtenir un ou deux joueurs en prêt, n'est pas une option, c'est une obligation.
Cette rigueur budgétaire est une très mauvaise nouvelle pour le nouvel entraîneur de l'ASM, Sébastien Pocognoli. Le technicien belge, qui espérait sans doute densifier son groupe pour tenir la cadence d'un calendrier chargé entre la Ligue 1 et la Ligue des Champions, pourrait au contraire voir son effectif être décimé. Si la stratégie initiale vise principalement les joueurs de rotation ou en manque de temps de jeu, la réalité du marché des transferts est souvent plus cruelle.
L'incertitude plane désormais au-dessus des cadres, et un nom revient avec insistance : Maghnes Akliouche. Le milieu offensif, véritable pépite de la formation monégasque, obtiendra-t-il un bon de sortie si une offre conséquente venait à arriver sur le bureau des dirigeants ? Dans un contexte où le club cherche désespérément des liquidités, aucun scénario n'est à exclure, pas même le sacrifice d'un titulaire indiscutable.
Le mois de janvier s'annonce donc glacial en Principauté, où Sébastien Pocognoli devra faire des miracles avec un effectif qui pourrait être affaibli.
La révélation fait l'effet d'une douche froide pour les amoureux de l'ASM. Comme l'a révélé le journaliste d'investigation Romain Molina, l'AS Monaco a activé le mode "grande braderie". L'objectif affiché en interne est limpide : il faut impérativement dégraisser, alléger une masse salariale jugée trop lourde et faire rentrer des liquidités dès le mois de janvier.
Cette nouvelle directive place la direction sportive dans une posture délicate. En clair, le robinet est fermé. Il ne faudra s'attendre à aucune arrivée majeure sans départ préalable significatif. Si le board monégasque assure rester à l'affût de bonnes opportunités de marché, notamment pour pallier la longue indisponibilité de l'international japonais Takumi Minamino, la marge de manœuvre est quasi inexistante. L'équation est simple mais brutale pour les ambitions du club : vendre avant d'acheter ou plutôt obtenir un ou deux joueurs en prêt, n'est pas une option, c'est une obligation.
Cette rigueur budgétaire est une très mauvaise nouvelle pour le nouvel entraîneur de l'ASM, Sébastien Pocognoli. Le technicien belge, qui espérait sans doute densifier son groupe pour tenir la cadence d'un calendrier chargé entre la Ligue 1 et la Ligue des Champions, pourrait au contraire voir son effectif être décimé. Si la stratégie initiale vise principalement les joueurs de rotation ou en manque de temps de jeu, la réalité du marché des transferts est souvent plus cruelle.
L'incertitude plane désormais au-dessus des cadres, et un nom revient avec insistance : Maghnes Akliouche. Le milieu offensif, véritable pépite de la formation monégasque, obtiendra-t-il un bon de sortie si une offre conséquente venait à arriver sur le bureau des dirigeants ? Dans un contexte où le club cherche désespérément des liquidités, aucun scénario n'est à exclure, pas même le sacrifice d'un titulaire indiscutable.
Le mois de janvier s'annonce donc glacial en Principauté, où Sébastien Pocognoli devra faire des miracles avec un effectif qui pourrait être affaibli.
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