L'humiliation ultime aurait été d'en prendre plus de 10. Blague à part, l'AS Saint-Etienne a, ce vendredi, vécu une soirée cauchemardesque. En effet, l'ASSE qui se déplaçait à Nice en ouverture de la 5ème journée de Ligue 1, a été laminé sur le score de 8 à 0.
Une lourde défaite qui risque de laisser des traces, et qui fragilise un peu plus la position de Olivier Dall'Oglio. Si pour l'heure le coach des Verts a été confirmé à son poste, les deux prochaines journées de championnat face au FC Nantes et l'AJ Auxerre, seront décisives pour son avenir.
Comment digérer une telle humiliation ? Interrogé par Ouest France, l'ancien entraîneur du FC Metz, Philippe Hinschberger, qui en avait pris 7 à domicile face à l'AS Monaco en 2016, a confié avoir envoyé un texto à Olivier Dall'Oglio pour l'aider à dédramatiser la situation.
"J’ai envoyé un petit texto à Olivier Dall’Oglio ce matin. Je lui ai dit : "Ne t’inquiète pas, le ridicule ne tue pas : j’en ai pris sept contre Monaco à domicile, on a fini avec la dernière défense mais on s’est maintenu." On a pris quelques petites branlées cette année-là. Celle contre Monaco a été très, très dure. Je me souviens de cette soirée, il a fallu traverser toute la salle des 450 partenaires et leur dire bonjour. Quand vous en avez pris sept à domicile, pff… ", a confié Hinschberger.
De quoi rassurer Olivier Dall'Oglio et les supporters de l'AS Saint-Etienne ? Pas vraiment ...
Une lourde défaite qui risque de laisser des traces, et qui fragilise un peu plus la position de Olivier Dall'Oglio. Si pour l'heure le coach des Verts a été confirmé à son poste, les deux prochaines journées de championnat face au FC Nantes et l'AJ Auxerre, seront décisives pour son avenir.
Comment digérer une telle humiliation ? Interrogé par Ouest France, l'ancien entraîneur du FC Metz, Philippe Hinschberger, qui en avait pris 7 à domicile face à l'AS Monaco en 2016, a confié avoir envoyé un texto à Olivier Dall'Oglio pour l'aider à dédramatiser la situation.
"J’ai envoyé un petit texto à Olivier Dall’Oglio ce matin. Je lui ai dit : "Ne t’inquiète pas, le ridicule ne tue pas : j’en ai pris sept contre Monaco à domicile, on a fini avec la dernière défense mais on s’est maintenu." On a pris quelques petites branlées cette année-là. Celle contre Monaco a été très, très dure. Je me souviens de cette soirée, il a fallu traverser toute la salle des 450 partenaires et leur dire bonjour. Quand vous en avez pris sept à domicile, pff… ", a confié Hinschberger.
De quoi rassurer Olivier Dall'Oglio et les supporters de l'AS Saint-Etienne ? Pas vraiment ...