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Le scénario catastrophe s’est écrit en 60 secondes. Dès le coup d’envoi, Akliouche crucifie l’ASSE sur une contre-attaque foudroyante. « On a mal commencé, c’est dur à encaisser émotionnellement », a lâché Eirik Horneland, le visage fermé. Les Verts, pourtant portés à domicile par leur victoire dans le derby, ont disparu tactiquement, laissant des gouffres entre les lignes. « À chaque perte, on était trop loin pour se replacer », analyse le technicien, pointant du doigt une désorganisation chronique.
Malgré l’égalisation de Davitashvili (65ᵉ), l’espoir n’aura duré que 120 secondes. Musrati redonnant l’avantage à Monaco, exploitant une défense fantôme. « On défend mal, on encaisse, on court après le score… C’est épuisant », soupire Horneland. Un aveu de faiblesse rare pour un coach habituellement combatif.
Avec cette 19ᵉ défaite en 32 journées, les Stéphanois s'enlisent plus que jamais à la 17ᵉ place de Ligue 1. Horneland, lui, semble vidé mentalement : « Quand on est à notre niveau, on peut rivaliser. Sinon, c’est l’enfer ». Un constat accablant pour une équipe qui n'arrive pas à répondre devant l'urgence et qui doit composer sans son meilleur atout offensif : Lucas Stassin.
Le coach norvégien mise sur un sursaut d’orgueil : « Ce groupe a du talent, mais l’intensité nous tue » pour les deux dernières journées de Ligue 1 que l'ASSE devra obligatoirement remporter.
Mais bon, en interne on ne se fait plus trop d'illusion. Un proche de la direction sportive nous a confié que cela travaillait déjà sur un mercato "Ligue 2". Et pourtant un maintien est encore possible, surtout au regard du calendrier du Havre. Si le HAC s'incline aujourd'hui à Auxerre, le club normand aura toujours un point d'avance sur Sainté avant d'affronter Marseille et Strasbourg.
Malgré l’égalisation de Davitashvili (65ᵉ), l’espoir n’aura duré que 120 secondes. Musrati redonnant l’avantage à Monaco, exploitant une défense fantôme. « On défend mal, on encaisse, on court après le score… C’est épuisant », soupire Horneland. Un aveu de faiblesse rare pour un coach habituellement combatif.
Avec cette 19ᵉ défaite en 32 journées, les Stéphanois s'enlisent plus que jamais à la 17ᵉ place de Ligue 1. Horneland, lui, semble vidé mentalement : « Quand on est à notre niveau, on peut rivaliser. Sinon, c’est l’enfer ». Un constat accablant pour une équipe qui n'arrive pas à répondre devant l'urgence et qui doit composer sans son meilleur atout offensif : Lucas Stassin.
Le coach norvégien mise sur un sursaut d’orgueil : « Ce groupe a du talent, mais l’intensité nous tue » pour les deux dernières journées de Ligue 1 que l'ASSE devra obligatoirement remporter.
Mais bon, en interne on ne se fait plus trop d'illusion. Un proche de la direction sportive nous a confié que cela travaillait déjà sur un mercato "Ligue 2". Et pourtant un maintien est encore possible, surtout au regard du calendrier du Havre. Si le HAC s'incline aujourd'hui à Auxerre, le club normand aura toujours un point d'avance sur Sainté avant d'affronter Marseille et Strasbourg.
