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Habib Beye était d'humeur massacrante ce samedi soir. Après la défaite face à Toulouse (2-1), le technicien a livré une conférence de presse aussi explosive que lucide. « En première mi-temps, j’ai vu une équipe cliniquement morte. Aucune intensité, aucune intention, aucune envie », a-t-il asséné, les dents serrées. Des mots qui résonnent comme un electrochoc pour des joueurs accusés d’avoir relâché leur effort depuis la garantie du maintien. « Quand on est arrivé, on tremblait à la 16e place. Aujourd’hui, certains se croient en vacances », a-t-il ajouté, pointant du doigt un relâchement mental inacceptable.
Le changement de système en cours de match (passage du 3-4-3 au 4-4-2) n’a rien changé à l’affaire. « Même le deuxième but toulousain résume notre match : on se fait dominer dans les duels, on subit », a analysé Beye, déplorant une absence totale de caractère. Un constat partagé par les supporters, qui ont vu leur équipe encaisser 6 buts en deux matches, synonyme d’alerte rouge avant les derniers gros matchs qui s'annoncent compliqués.
Avec cette sortie médiatique sans filtre, l’entraîneur sénégalais joue son va-tout. « Je veux des joueurs investis comme mon staff. Sinon, finissons la saison en roue libre ! », a-t-il lancé, exigeant un sursaut immédiat. Problème : les deux derniers matchs sont corsés. Après avoir affronté Lyon et Toulouse, Rennes recevra Nice puis affrontera l’OM au Vélodrome, deux formations en course pour un ticket pour la prochaine Ligue des Champions.
« Si on continue comme ça, on va se faire démonter », semble prévenir Beye, qui mise sur un réveil des consciences. Reste à savoir si ses troupes entendront l’avertissement.
Toujours est-il que du côté de Rennes on se demande si Habib Beye est l'homme de la situation. Hormis la victoire miraculeuse contre Strasbourg, le Stade Rennais a perdu tous ses matchs face à des mieux classés et même contre Toulouse qui était au fond du trou depuis plusieurs semaines. Les seuls succès (sauf Strasbourg) sont contre les six derniers du championnat. Le raccourci est donc rapide : pour l'heure le SRFC ne vaut pas mieux que sa place actuelle. Pire, après l'euphorie des débuts de Beye, le niveau de jeu ne cesse de s'effriter.
Habib Beye toujours sur le banc rennais la saison prochaine ? Si son contrat a automatiquement été prolongé jusqu'en 2026 suite au maintien, en interne le cas Beye divise : certains estiment qu'il n'est clairement pas l'homme de la situation.
Le changement de système en cours de match (passage du 3-4-3 au 4-4-2) n’a rien changé à l’affaire. « Même le deuxième but toulousain résume notre match : on se fait dominer dans les duels, on subit », a analysé Beye, déplorant une absence totale de caractère. Un constat partagé par les supporters, qui ont vu leur équipe encaisser 6 buts en deux matches, synonyme d’alerte rouge avant les derniers gros matchs qui s'annoncent compliqués.
Avec cette sortie médiatique sans filtre, l’entraîneur sénégalais joue son va-tout. « Je veux des joueurs investis comme mon staff. Sinon, finissons la saison en roue libre ! », a-t-il lancé, exigeant un sursaut immédiat. Problème : les deux derniers matchs sont corsés. Après avoir affronté Lyon et Toulouse, Rennes recevra Nice puis affrontera l’OM au Vélodrome, deux formations en course pour un ticket pour la prochaine Ligue des Champions.
« Si on continue comme ça, on va se faire démonter », semble prévenir Beye, qui mise sur un réveil des consciences. Reste à savoir si ses troupes entendront l’avertissement.
Toujours est-il que du côté de Rennes on se demande si Habib Beye est l'homme de la situation. Hormis la victoire miraculeuse contre Strasbourg, le Stade Rennais a perdu tous ses matchs face à des mieux classés et même contre Toulouse qui était au fond du trou depuis plusieurs semaines. Les seuls succès (sauf Strasbourg) sont contre les six derniers du championnat. Le raccourci est donc rapide : pour l'heure le SRFC ne vaut pas mieux que sa place actuelle. Pire, après l'euphorie des débuts de Beye, le niveau de jeu ne cesse de s'effriter.
Habib Beye toujours sur le banc rennais la saison prochaine ? Si son contrat a automatiquement été prolongé jusqu'en 2026 suite au maintien, en interne le cas Beye divise : certains estiment qu'il n'est clairement pas l'homme de la situation.
