La période d'euphorie n'aura pas duré longtemps pour Habib Beye du côté du Stade Rennais. Après des débuts prometteurs qu'on nuancera avec une adversité plutôt limitée, le successeur de Jorge Sampaoli est déjà dans le creux de la vague. Avec 5 défaites lors des 8 dernières journées de Ligue 1, dont un revers ce samedi face à une équipe de Toulouse qui était au fond du trou, le SRFC confirme que les lacunes de la première partie de saison sont toujours bien présentes.
Si Habib Beye est déjà pointé du doigt, c'est également le cas de l'équipe dirigeante. Si le sort de Frédéric Massara est déjà joué en coulisse depuis un moment, le président Arnaud Pouille est également dans le viseur des supporters rennais, mais également de proches du clan Pinault.
Arrivé en octobre dernier à Rennes après avoir été évincé quelques mois plus tôt du RC Lens, le président du Stade Rennais est de plus en plus critiqué pour ses choix "stratégiques". En effet, si l'échec Sampaoli a été mis sur le dos de Massara, le mercato d'hiver a totalement été pris en main par Pouille. Et pour le coups, de nombreuses décisions commencent à sérieusement faire grincer des dents.
Parmi les décisions qui provoquent des tensions en interne, il y a notamment la folie financièrement faite pour attirer Seko Fofana. De très loin le joueur le mieux payé de l'histoire du Stade Rennais, l'ex lensois n'est clairement pas au niveau espéré pour un tel investissement. Le problème est que Fofana dispose d'un très long contrat au SRFC, et la note risque d'être particulièrement salée.
Et que dire du recrutement de Kyogo Furuhashi ?! N'entrant pas dans les plans de Habib Beye en raison d'un niveau global décevant, l'attaquant japonais a tout de même coûté la coquette somme de 12 millions d'euros, pour un salaire se situant autour des 250 000€ par mois. On pourrait également parler des 10 millions d'euros dépensés pour Mousa Tamari (Pouille et Nicollin s'apprécient).
Toujours est-il que ce Stade Rennais continue à inquiéter malgré les lourds investissement de cet hiver. L'intersaison du SRFC sera donc scrutée avec attention, et on peut d'ores et déjà affirmer que Arnaud Pouille a grillé tous ses jokers.
Si Habib Beye est déjà pointé du doigt, c'est également le cas de l'équipe dirigeante. Si le sort de Frédéric Massara est déjà joué en coulisse depuis un moment, le président Arnaud Pouille est également dans le viseur des supporters rennais, mais également de proches du clan Pinault.
Arrivé en octobre dernier à Rennes après avoir été évincé quelques mois plus tôt du RC Lens, le président du Stade Rennais est de plus en plus critiqué pour ses choix "stratégiques". En effet, si l'échec Sampaoli a été mis sur le dos de Massara, le mercato d'hiver a totalement été pris en main par Pouille. Et pour le coups, de nombreuses décisions commencent à sérieusement faire grincer des dents.
Parmi les décisions qui provoquent des tensions en interne, il y a notamment la folie financièrement faite pour attirer Seko Fofana. De très loin le joueur le mieux payé de l'histoire du Stade Rennais, l'ex lensois n'est clairement pas au niveau espéré pour un tel investissement. Le problème est que Fofana dispose d'un très long contrat au SRFC, et la note risque d'être particulièrement salée.
Et que dire du recrutement de Kyogo Furuhashi ?! N'entrant pas dans les plans de Habib Beye en raison d'un niveau global décevant, l'attaquant japonais a tout de même coûté la coquette somme de 12 millions d'euros, pour un salaire se situant autour des 250 000€ par mois. On pourrait également parler des 10 millions d'euros dépensés pour Mousa Tamari (Pouille et Nicollin s'apprécient).
Toujours est-il que ce Stade Rennais continue à inquiéter malgré les lourds investissement de cet hiver. L'intersaison du SRFC sera donc scrutée avec attention, et on peut d'ores et déjà affirmer que Arnaud Pouille a grillé tous ses jokers.
