Andy Diouf découvre la dure réalité du football italien. Malgré l'investissement conséquent des Nerazzurri, l'ex milieu de terrain du RC Lens peine à gratter du temps de jeu sous les ordres de Cristian Chivu.
Ses seules minutes disputées remontent au large succès face au Torino (5-0), où il était entré à la 77e minute dans un rôle de numéro 10, position qu'il n'avait jamais occupée auparavant. "Je l'ai même mis en difficulté, car je l'ai fait jouer à un poste qu'il n'avait jamais occupé", avait reconnu l'entraîneur roumain.
Le problème principal réside dans l'adaptation tactique de Diouf au nouveau système interiste. Cristian Chivu a opté pour un 3-4-2-1 ou 3-5-2. Un système que Diouf connait pourtant bien. Mais voila, pas facile pour un box to box de trouver ses marques dans un milieu très joueur qui est porté sur la possession.
La concurrence s'avère également redoutable dans l'entrejeu milanais. Avec la présence de Nicolò Barella, Petar Sucic, Davide Frattesi, Piotr Zieliński, Henrikh Mkhitaryan et Hakan Çalhanoğlu, les opportunités se raréfient pour le joueur de 22 ans. "C'est un milieu que nous n'avions pas dans l'effectif, avec une belle capacité de progression balle au pied, et gaucher", avait pourtant souligné Chivu lors de son arrivée.
La situation devient préoccupante car Andy Diouf ne pourra pas être prêté lors du mercato hivernal. Ayant déjà évolué sous deux maillots différents cette saison (Lens puis l'Inter), le règlement FIFA lui interdit de rejoindre un troisième club avant la saison prochaine.
Cette contrainte réglementaire l'oblige à rester en Lombardie jusqu'en juin 2026, malgré son manque flagrant de temps de jeu. Le natif de Neuilly-sur-Seine, qui avait disputé 37 matchs avec Lens la saison passée, se retrouve cantonné au banc dans un championnat où chaque minute compte pour la progression.
L'Inter Milan avait pourtant misé sur son potentiel technique et physique, estimant qu'il apporterait "une dimension recherchée" au milieu de terrain. Mais entre les attentes et la réalité, l'écart se creuse dangereusement ...
Ses seules minutes disputées remontent au large succès face au Torino (5-0), où il était entré à la 77e minute dans un rôle de numéro 10, position qu'il n'avait jamais occupée auparavant. "Je l'ai même mis en difficulté, car je l'ai fait jouer à un poste qu'il n'avait jamais occupé", avait reconnu l'entraîneur roumain.
Le problème principal réside dans l'adaptation tactique de Diouf au nouveau système interiste. Cristian Chivu a opté pour un 3-4-2-1 ou 3-5-2. Un système que Diouf connait pourtant bien. Mais voila, pas facile pour un box to box de trouver ses marques dans un milieu très joueur qui est porté sur la possession.
La concurrence s'avère également redoutable dans l'entrejeu milanais. Avec la présence de Nicolò Barella, Petar Sucic, Davide Frattesi, Piotr Zieliński, Henrikh Mkhitaryan et Hakan Çalhanoğlu, les opportunités se raréfient pour le joueur de 22 ans. "C'est un milieu que nous n'avions pas dans l'effectif, avec une belle capacité de progression balle au pied, et gaucher", avait pourtant souligné Chivu lors de son arrivée.
La situation devient préoccupante car Andy Diouf ne pourra pas être prêté lors du mercato hivernal. Ayant déjà évolué sous deux maillots différents cette saison (Lens puis l'Inter), le règlement FIFA lui interdit de rejoindre un troisième club avant la saison prochaine.
Cette contrainte réglementaire l'oblige à rester en Lombardie jusqu'en juin 2026, malgré son manque flagrant de temps de jeu. Le natif de Neuilly-sur-Seine, qui avait disputé 37 matchs avec Lens la saison passée, se retrouve cantonné au banc dans un championnat où chaque minute compte pour la progression.
L'Inter Milan avait pourtant misé sur son potentiel technique et physique, estimant qu'il apporterait "une dimension recherchée" au milieu de terrain. Mais entre les attentes et la réalité, l'écart se creuse dangereusement ...
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