Le Stade Brestois n'a pu faire mieux qu'un match nul à domicile face à l'OL. Un résultat frustrant qui n'a pas empêché Éric Roy de lancer une pique mordante envers les Lyonnais.
Après le 0-0 concédé dimanche soir à Francis-Le Blé, l'entraîneur du Stade Brestois n'a pas mâché ses mots. Éric Roy a pointé du doigt l'attitude des joueurs lyonnais, particulièrement celle de Corentin Tolisso.
"J'espère que Tolisso va bien parce qu'il a dû rester 10 minutes par terre", a lancé le technicien brestois avec une ironie mordante. Une phrase qui résume sa frustration face aux nombreux arrêts de jeu qui ont haché la rencontre.
Selon Eric Roy, les Lyonnais ont multiplié les chutes pour casser le rythme. "Il y a eu beaucoup d'arrêts de jeu", a regretté l'entraîneur. Une stratégie de gain de temps qui a empêché Brest d'exploiter pleinement sa supériorité numérique.
Les Finistériens ont évolué à 11 contre 10 pendant plus de 83 minutes après l'expulsion d'Hans Hateboer dès la 7e minute. Mais impossible de concrétiser.
Pour Roy, les joueurs de l'OL ont passé plus de temps au sol qu'à proposer du jeu. "Plutôt que d'essayer d'en proposer par eux-mêmes", les Lyonnais étaient "de plus en plus préoccupés par le fait de tomber au moindre contact pour casser le jeu".
Cette tactique a fonctionné. Brest, malgré sa domination, n'a jamais trouvé la faille face à des Gones regroupés et experts en gestion du temps.
Les Ti-Zefs auraient dû l'emporter selon leur coach. "Nous espérions vraiment l'emporter et nous aurions dû le faire si nous avions été plus précis", a-t-il confié. Mais face aux simulations adverses et au manque de réalisme offensif, Brest n'empoche finalement qu'un seul point.
Ce nul maintient le Stade Brestois dans une situation délicate, 13e avec seulement 10 points. Les regrets sont immenses après ce scénario où Lyon a su "tomber au moindre contact" pour préserver son point.
Après le 0-0 concédé dimanche soir à Francis-Le Blé, l'entraîneur du Stade Brestois n'a pas mâché ses mots. Éric Roy a pointé du doigt l'attitude des joueurs lyonnais, particulièrement celle de Corentin Tolisso.
"J'espère que Tolisso va bien parce qu'il a dû rester 10 minutes par terre", a lancé le technicien brestois avec une ironie mordante. Une phrase qui résume sa frustration face aux nombreux arrêts de jeu qui ont haché la rencontre.
Selon Eric Roy, les Lyonnais ont multiplié les chutes pour casser le rythme. "Il y a eu beaucoup d'arrêts de jeu", a regretté l'entraîneur. Une stratégie de gain de temps qui a empêché Brest d'exploiter pleinement sa supériorité numérique.
Les Finistériens ont évolué à 11 contre 10 pendant plus de 83 minutes après l'expulsion d'Hans Hateboer dès la 7e minute. Mais impossible de concrétiser.
Pour Roy, les joueurs de l'OL ont passé plus de temps au sol qu'à proposer du jeu. "Plutôt que d'essayer d'en proposer par eux-mêmes", les Lyonnais étaient "de plus en plus préoccupés par le fait de tomber au moindre contact pour casser le jeu".
Cette tactique a fonctionné. Brest, malgré sa domination, n'a jamais trouvé la faille face à des Gones regroupés et experts en gestion du temps.
Les Ti-Zefs auraient dû l'emporter selon leur coach. "Nous espérions vraiment l'emporter et nous aurions dû le faire si nous avions été plus précis", a-t-il confié. Mais face aux simulations adverses et au manque de réalisme offensif, Brest n'empoche finalement qu'un seul point.
Ce nul maintient le Stade Brestois dans une situation délicate, 13e avec seulement 10 points. Les regrets sont immenses après ce scénario où Lyon a su "tomber au moindre contact" pour préserver son point.






