Eric Roy ne cache pas les difficultés du Stade Brestois en ce début de saison. Avec seulement 4 points glanés en cinq journées de Ligue 1, les Ty-Zefs occupent la 14e place, à égalité avec le barragiste Nantes. Mais le technicien breton, élu meilleur entraîneur de Ligue 1 lors de la saison 2023-2024, garde le cap et prêche l'adaptation.
« Je sais ce que je veux mettre en place et vers où je veux aller. On a recruté des profils différents, ce qui nous oblige à tout reconstruire, et c'est passionnant de chercher la meilleure formule », a confié l'entraîneur de 58 ans en conférence de presse. Une reconstruction nécessaire après le départ de nombreux cadres et l'arrivée de nouvelles têtes lors du mercato estival.
Si la large victoire contre Nice (4-1) samedi dernier a redonné confiance au groupe, Roy refuse l'euphorie et met l'accent sur la mentalité. « Tout ne m'a pas rassuré contre Nice, donc il faudra aller à Angers avec le bon état d'esprit, sans jamais sous-estimer l'adversaire », prévient-il avant le déplacement de dimanche chez les Angevins.
Une prudence justifiée face à un promu angevin qui reste sur deux matchs nuls et une défaite 1 à 0 (sans démériter) face à l'Olympique Lyonnais, et qui ne compte qu'un point d'avance sur Brest au classement. « Cela demandera l'engagement de tous et des performances individuelles solides », insiste le coach, conscient que chaque match sera une bataille dans cette première partie de championnat.
Malgré ce début laborieux, Eric Roy affiche cependant une sérénité déconcertante : « Avec seulement 4 points en 5 matchs, on a encore beaucoup de travail, mais ça ne m'inquiète pas : au contraire, c'est excitant de devoir s'adapter. » Un optimisme qui tranche avec la réalité du terrain mais qui illustre la philosophie du technicien, habitué aux défis depuis son arrivée en janvier 2023.
Toujours est-il que l'optimisme de Eric Roy est un sacré message envoyé aux sceptiques qui voient le Stade Brestois batailler pour assurer son maintien.
« Je sais ce que je veux mettre en place et vers où je veux aller. On a recruté des profils différents, ce qui nous oblige à tout reconstruire, et c'est passionnant de chercher la meilleure formule », a confié l'entraîneur de 58 ans en conférence de presse. Une reconstruction nécessaire après le départ de nombreux cadres et l'arrivée de nouvelles têtes lors du mercato estival.
Si la large victoire contre Nice (4-1) samedi dernier a redonné confiance au groupe, Roy refuse l'euphorie et met l'accent sur la mentalité. « Tout ne m'a pas rassuré contre Nice, donc il faudra aller à Angers avec le bon état d'esprit, sans jamais sous-estimer l'adversaire », prévient-il avant le déplacement de dimanche chez les Angevins.
Une prudence justifiée face à un promu angevin qui reste sur deux matchs nuls et une défaite 1 à 0 (sans démériter) face à l'Olympique Lyonnais, et qui ne compte qu'un point d'avance sur Brest au classement. « Cela demandera l'engagement de tous et des performances individuelles solides », insiste le coach, conscient que chaque match sera une bataille dans cette première partie de championnat.
Malgré ce début laborieux, Eric Roy affiche cependant une sérénité déconcertante : « Avec seulement 4 points en 5 matchs, on a encore beaucoup de travail, mais ça ne m'inquiète pas : au contraire, c'est excitant de devoir s'adapter. » Un optimisme qui tranche avec la réalité du terrain mais qui illustre la philosophie du technicien, habitué aux défis depuis son arrivée en janvier 2023.
Toujours est-il que l'optimisme de Eric Roy est un sacré message envoyé aux sceptiques qui voient le Stade Brestois batailler pour assurer son maintien.
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