On marche sur la tête à Saint-Symphorien. Alors que le FC Metz joue sa survie en Ligue 1 et avait besoin de toutes ses forces vives face à une équipe du Stade Rennais en pleine renaissance, c’est une scène surréaliste qui a volé la vedette au terrain. Koffi Kouao, pilier de la défense, a décidé de jouer sa propre partition, et elle sonne terriblement faux.
L’image a fait le tour des réseaux sociaux en quelques minutes, et elle est pourrait bien pourrir l'ambiance dans le vestiaire mosellan. Vendredi soir, alors que ses coéquipiers suaient pour préparer le match face à Rennes, Koffi Kouao a choisi le confort d’un ballon pour s’asseoir, le regard noir, en marge du groupe. Selon les images diffusées par Ligue 1+, le latéral ivoirien a tout bonnement refusé de participer à l’échauffement collectif.
La raison de cette bouderie d’adolescent ? Sa non-titularisation. Une première cette saison, après 13 matchs débutés dans la peau d’un indiscutable. Résultat des courses : une défaite (0-1) amère, un Kouao qui n’a pas disputé la moindre minute, et un malaise palpable qui vient polluer l'ambiance dans un vestiaire qui pourrait rapidement retomber dans la sinistrose.
Attitude de diva ou véritable cassure avec Stéphane Le Mignan ? C’est la question qui brûle les lèvres de tous les observateurs présents en tribune presse. Si la frustration d’un compétiteur est compréhensible, la forme est ici inexcusable.
Pourtant, Stéphane Le Mignan a tenté d'éteindre l'incendie après le match. Le coach messin a assuré qu'il n'y avait "pas de souci avec Koffi". On a du mal à le croire. On ne laisse pas son meilleur latéral sur le banc pendant 90 minutes face à un tel adversaire sans une raison extrasportive ou une sanction déguisée.
C'est là que le bât blesse. Au-delà du comportement sanctionnable de l'ancien joueur de Vizela, le timing du choix de Le Mignan interroge. Pourquoi se passer de l’un de ses joueurs les plus réguliers depuis août ?
Est-ce un problème à l'entraînement cette semaine qui a agacé le technicien breton ? En se privant de l'intensité de Kouao face à la vitesse des attaquants rennais, Metz s'est tiré une balle dans le pied. Si l'institution doit primer sur le joueur, le résultat final (0-1) donne tort au coach : Metz a perdu, et son meilleur soldat regardait son équipe s'incliner les fesses posées sur le cuir.
L’image a fait le tour des réseaux sociaux en quelques minutes, et elle est pourrait bien pourrir l'ambiance dans le vestiaire mosellan. Vendredi soir, alors que ses coéquipiers suaient pour préparer le match face à Rennes, Koffi Kouao a choisi le confort d’un ballon pour s’asseoir, le regard noir, en marge du groupe. Selon les images diffusées par Ligue 1+, le latéral ivoirien a tout bonnement refusé de participer à l’échauffement collectif.
La raison de cette bouderie d’adolescent ? Sa non-titularisation. Une première cette saison, après 13 matchs débutés dans la peau d’un indiscutable. Résultat des courses : une défaite (0-1) amère, un Kouao qui n’a pas disputé la moindre minute, et un malaise palpable qui vient polluer l'ambiance dans un vestiaire qui pourrait rapidement retomber dans la sinistrose.
Attitude de diva ou véritable cassure avec Stéphane Le Mignan ? C’est la question qui brûle les lèvres de tous les observateurs présents en tribune presse. Si la frustration d’un compétiteur est compréhensible, la forme est ici inexcusable.
Pourtant, Stéphane Le Mignan a tenté d'éteindre l'incendie après le match. Le coach messin a assuré qu'il n'y avait "pas de souci avec Koffi". On a du mal à le croire. On ne laisse pas son meilleur latéral sur le banc pendant 90 minutes face à un tel adversaire sans une raison extrasportive ou une sanction déguisée.
C'est là que le bât blesse. Au-delà du comportement sanctionnable de l'ancien joueur de Vizela, le timing du choix de Le Mignan interroge. Pourquoi se passer de l’un de ses joueurs les plus réguliers depuis août ?
Est-ce un problème à l'entraînement cette semaine qui a agacé le technicien breton ? En se privant de l'intensité de Kouao face à la vitesse des attaquants rennais, Metz s'est tiré une balle dans le pied. Si l'institution doit primer sur le joueur, le résultat final (0-1) donne tort au coach : Metz a perdu, et son meilleur soldat regardait son équipe s'incliner les fesses posées sur le cuir.
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