Dans un entretien accordé à France Football, Vahid Halilhodzic a confié qu'il avait envisagé de quitter le FC Nantes après la lourde défaite face à Bordeaux (3-0).
« Quand je suis rentré dans ma chambre d’hôtel, le soir à Nantes, je me suis assis sur mon lit et j’ai réfléchi : « Vahid, pourquoi ça tombe toujours sur toi ? Lille, Rennes, Paris, Algérie et maintenant Nantes. Tu n’as pas besoin de ça. Prends tes affaires, rentre chez toi. » J’ai déjà vécu cela plusieurs fois et je savais ce qui m’attendait. Je ne suis pas masochiste. (...) Le lendemain, après une très courte nuit, j’ai pris ma voiture et, pendant les quinze minutes de trajet jusqu’à la Jonelière, j’avais encore cette réflexion. Mais quand je suis rentré dans cet endroit où j’avais vécu tellement de choses, je me suis dit : « Tu n’as pas le droit de faire ça. Tu n’es pas un faible ! Y’a du boulot ! Allez, vas-y ! ». C’est là que j’ai pris ma décision définitive. (…) Je me devais d’aider ce club où j’ai vécu des années exceptionnelles et où on ne m’avait pas oublié trente ans plus tard. » a t'il déclaré.
Un départ qui aurait fait tâche, puisque le technicien bosnien venait juste d'être nommé à la tête des Canaris.
« Quand je suis rentré dans ma chambre d’hôtel, le soir à Nantes, je me suis assis sur mon lit et j’ai réfléchi : « Vahid, pourquoi ça tombe toujours sur toi ? Lille, Rennes, Paris, Algérie et maintenant Nantes. Tu n’as pas besoin de ça. Prends tes affaires, rentre chez toi. » J’ai déjà vécu cela plusieurs fois et je savais ce qui m’attendait. Je ne suis pas masochiste. (...) Le lendemain, après une très courte nuit, j’ai pris ma voiture et, pendant les quinze minutes de trajet jusqu’à la Jonelière, j’avais encore cette réflexion. Mais quand je suis rentré dans cet endroit où j’avais vécu tellement de choses, je me suis dit : « Tu n’as pas le droit de faire ça. Tu n’es pas un faible ! Y’a du boulot ! Allez, vas-y ! ». C’est là que j’ai pris ma décision définitive. (…) Je me devais d’aider ce club où j’ai vécu des années exceptionnelles et où on ne m’avait pas oublié trente ans plus tard. » a t'il déclaré.
Un départ qui aurait fait tâche, puisque le technicien bosnien venait juste d'être nommé à la tête des Canaris.
