PSG - Paris SG
Le PSG s'est incliné face au Stade Rennais (0-2) pour le compte de la 28e journée de Ligue 1. Karl Toko-Ekambi et Arnaud Kalimuendo ont en effet permis à Rennes de réaliser l'exploit de cette journée de championnat. Mais peut-on vraiment parler d'exploit ? Au regard des prestations du Paris Saint-Germain depuis de la reprise post Coupe du Monde, cette défaite parisienne au Parc des Princes n'est au final pas surprenante. En effet, le PSG a concédé sa 7e défaite en 18 matchs en 2023 : un record en une si courte période sous l'ère QSI.
Christophe Galtier dans le déni total
Présent en conférence de presse après la rencontre, l'entraîneur du PSG, Christophe Galtier, nous a gratifié d'un discours totalement lunaire. En effet, le Marseillais a justifié une certaine résignation de ses joueurs par rapport au fait que son groupe était sérieusement amoindri, notamment sur le plan défensif.
" Quand vous préparez le match, que vous intégrez beaucoup de jeunes du centre de formation et que vos leaders défensifs ne sont pas là, on peut se demander si ça se passe mal comment on va pouvoir réagir. L’histoire du match, c’est quand même qu’on a pris des ballons dans le dos de notre défense. Ils marquent à la 45e minute et au retour des vestiaires, évidemment que c’est compliqué. Même si on a fait des erreurs qui me paraissent malheureusement logiques avec une défense totalement recomposée, on a eu des situations favorables. ", a t'il déclaré avant de poursuivre.
"
Mettez-vous à la place des joueurs qui préparent un match, voient huit joueurs absents et rentrent dans le vestiaire avec des jeunes du centre de formation qu’ils ont dû voir une ou deux fois à l’entraînement. On savait qu’on allait avoir un match difficile. On peut comprendre que quand vous êtes menés 2-0 face à Rennes, que n’avez pas beaucoup d’autres options et qu’il manque beaucoup de joueurs, il peut y avoir un peu de résignation. "
Pas de profondeur de banc, certes, mais c'est tout de même culotté de parler de résignation quand sur le terrain il y avait Donnarumma, Danilo, Bernat, Mendes, Vitinha, Ruiz, Verratti, Messi et Mbappé. On parle quand même de titulaires ou de joueurs d'expérience. Comment donc expliquer cette bouillie en première mi-temps ?
Plus les semaines passent et plus le discours de Christophe Galtier est à l'image du fond de jeu de son équipe : en déliquescence. Et dire qu'il pourrait être confirmé si victoire finale en Ligue 1 ... . Même Mauricio Pochettino n'était pas tombé si bas en terme de fond de jeu et de communication.
" Quand vous préparez le match, que vous intégrez beaucoup de jeunes du centre de formation et que vos leaders défensifs ne sont pas là, on peut se demander si ça se passe mal comment on va pouvoir réagir. L’histoire du match, c’est quand même qu’on a pris des ballons dans le dos de notre défense. Ils marquent à la 45e minute et au retour des vestiaires, évidemment que c’est compliqué. Même si on a fait des erreurs qui me paraissent malheureusement logiques avec une défense totalement recomposée, on a eu des situations favorables. ", a t'il déclaré avant de poursuivre.
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Mettez-vous à la place des joueurs qui préparent un match, voient huit joueurs absents et rentrent dans le vestiaire avec des jeunes du centre de formation qu’ils ont dû voir une ou deux fois à l’entraînement. On savait qu’on allait avoir un match difficile. On peut comprendre que quand vous êtes menés 2-0 face à Rennes, que n’avez pas beaucoup d’autres options et qu’il manque beaucoup de joueurs, il peut y avoir un peu de résignation. "
Pas de profondeur de banc, certes, mais c'est tout de même culotté de parler de résignation quand sur le terrain il y avait Donnarumma, Danilo, Bernat, Mendes, Vitinha, Ruiz, Verratti, Messi et Mbappé. On parle quand même de titulaires ou de joueurs d'expérience. Comment donc expliquer cette bouillie en première mi-temps ?
Plus les semaines passent et plus le discours de Christophe Galtier est à l'image du fond de jeu de son équipe : en déliquescence. Et dire qu'il pourrait être confirmé si victoire finale en Ligue 1 ... . Même Mauricio Pochettino n'était pas tombé si bas en terme de fond de jeu et de communication.
