Joseph Oughourlian n'exclut plus de céder le RC Lens, mais uniquement à des conditions très strictes qui respecteraient l'identité du club artésien.
Dans un contexte de crise persistante des droits TV, le président-propriétaire du RC Lens a livré une déclaration marquante ce vendredi. "Je n'abandonnerai pas Lens, surtout pas maintenant. J'ai en revanche toujours dit que, si un potentiel nouveau propriétaire arrivait, avec plus de moyens, d'argent et qui respecte les valeurs et l'histoire du club, je n'irais pas contre les intérêts du RC Lens et de ses supporters", a confié l'homme d'affaires franco-arménien au Figaro.
Cette ouverture contraste avec ses déclarations précédentes où il affirmait ne pas être "vendeur d'aucun club". Mais le propriétaire des Sang et Or pose un cadre précis : tout candidat à la reprise devra démontrer une solidité financière supérieure et s'engager à préserver l'ADN lensois.
Oughourlian, qui a investi plus de 80 millions d'euros de sa fortune personnelle depuis 2017, sait qu'il a atteint un plafond de verre en terme d'investissement, raison pour laquelle la masse salariale du club a été drastiquement réduite ces derniers mois, conséquence directe de l'effondrement des droits TV domestiques.
Malgré les difficultés, le président maintient ses ambitions sportives tout en assumant l'austérité. "Il faut qu'on trouve d'autres revenus", martèle-t-il, justifiant ainsi le rachat du stade Bollaert-Delelis pour 27 millions d'euros en mai dernier. Cette stratégie de diversification économique et d'indépendance vis-à-vis des droits TV s'inscrit dans une vision à long terme. Le club artésien qui réalise un bon début de saison, mise sur la formation et la revente de joueurs pour maintenir son équilibre financier.
Un départ de Joseph Oughourlian ce n'est donc pas pour maintenant. L'objectif est d'assainir totalement les finances du club, ce qui est en bonne voie, et de le rendre sexy en développant son rayonnement marketing. Ensuite, une vente pourra être mise sur le tapis.
Dans un contexte de crise persistante des droits TV, le président-propriétaire du RC Lens a livré une déclaration marquante ce vendredi. "Je n'abandonnerai pas Lens, surtout pas maintenant. J'ai en revanche toujours dit que, si un potentiel nouveau propriétaire arrivait, avec plus de moyens, d'argent et qui respecte les valeurs et l'histoire du club, je n'irais pas contre les intérêts du RC Lens et de ses supporters", a confié l'homme d'affaires franco-arménien au Figaro.
Cette ouverture contraste avec ses déclarations précédentes où il affirmait ne pas être "vendeur d'aucun club". Mais le propriétaire des Sang et Or pose un cadre précis : tout candidat à la reprise devra démontrer une solidité financière supérieure et s'engager à préserver l'ADN lensois.
Oughourlian, qui a investi plus de 80 millions d'euros de sa fortune personnelle depuis 2017, sait qu'il a atteint un plafond de verre en terme d'investissement, raison pour laquelle la masse salariale du club a été drastiquement réduite ces derniers mois, conséquence directe de l'effondrement des droits TV domestiques.
Malgré les difficultés, le président maintient ses ambitions sportives tout en assumant l'austérité. "Il faut qu'on trouve d'autres revenus", martèle-t-il, justifiant ainsi le rachat du stade Bollaert-Delelis pour 27 millions d'euros en mai dernier. Cette stratégie de diversification économique et d'indépendance vis-à-vis des droits TV s'inscrit dans une vision à long terme. Le club artésien qui réalise un bon début de saison, mise sur la formation et la revente de joueurs pour maintenir son équilibre financier.
Un départ de Joseph Oughourlian ce n'est donc pas pour maintenant. L'objectif est d'assainir totalement les finances du club, ce qui est en bonne voie, et de le rendre sexy en développant son rayonnement marketing. Ensuite, une vente pourra être mise sur le tapis.