Julien Laporte n’a pas mâché ses mots au moment de tourner la page Lorient. Désormais nouveau défenseur central du Montpellier HSC, qu’il a rejoint libre de tout contrat, l’ex-capitaine (à quelques reprises) des Merlus a confié sa déception quant à l’attitude de ses anciens dirigeants. Après six saisons passées à défendre les couleurs lorientaises, Laporte espérait une sortie plus digne et un minimum de reconnaissance de la part d'un club dans lequel il a joué 158 matchs.
« Je m’attendais à autre chose, à un peu plus de respect et de considération. J’ai tout donné pour Lorient, mais au final, on m’a laissé partir sans un mot, sans même un vrai échange », a-t-il lâché à Ouest France, touché par ce manque de respect. Un sentiment d’amertume qui contraste avec l’enthousiasme affiché à son arrivée à Montpellier, où il compte bien relancer sa carrière et apporter son expérience à la défense héraultaise.
Du côté des supporters, la pilule a du mal à passer : beaucoup saluent la fidélité et l’investissement de Laporte, regrettant la gestion humaine du dossier par la direction lorientaise. À Montpellier, le défenseur de 31 ans qui envisageait de terminer sa carrière la Lorient, compte bien prouver qu'il en a encore sous la semelle, et faire regretter les dirigeants lorientais.
« Je m’attendais à autre chose, à un peu plus de respect et de considération. J’ai tout donné pour Lorient, mais au final, on m’a laissé partir sans un mot, sans même un vrai échange », a-t-il lâché à Ouest France, touché par ce manque de respect. Un sentiment d’amertume qui contraste avec l’enthousiasme affiché à son arrivée à Montpellier, où il compte bien relancer sa carrière et apporter son expérience à la défense héraultaise.
Du côté des supporters, la pilule a du mal à passer : beaucoup saluent la fidélité et l’investissement de Laporte, regrettant la gestion humaine du dossier par la direction lorientaise. À Montpellier, le défenseur de 31 ans qui envisageait de terminer sa carrière la Lorient, compte bien prouver qu'il en a encore sous la semelle, et faire regretter les dirigeants lorientais.