L'AS Monaco est dans le dur depuis plusieurs semaines. Une période compliquée qui coïncide avec l'absence d'un taulier du milieu de terrain. Blessé aux adducteurs avant le désastre de Bruges en Ligue des champions (1-4), Denis Zakaria manque cruellement à son équipe. Son retour n'est pas attendu avant fin novembre, soit près de deux mois d'absence. Et les statistiques parlent d'elles-mêmes : Monaco n'est plus la même équipe sans son capitaine.
Les données sont implacables. Avec Zakaria depuis août 2024, l'ASM affiche un bilan remarquable : 21 victoires, 6 nuls et 9 défaites pour une moyenne de 1,92 point par match. Sans lui sur la même période : seulement 6 victoires, 7 nuls et 8 défaites, soit 1,19 point par match. (données compilées par @AlyumdrA).
Une différence abyssale de 0,73 point par rencontre qui illustre la dépendance totale de Monaco envers son numéro 6. Le constat est plus cruel que jamais. Depuis son absence, les Monégasques enchaînent les désillusions : défaite 4-1 à Bruges, défaite 3-1 à Lorient, nul 2-2 contre Nice, et tout récemment un nul frustrant 1-1 à Angers pour la première de Sébastien Pocognoli sur le banc.
Denis Zakaria n'est pas qu'un simple récupérateur. C'est le métronome, le garant de l'équilibre d'une formation monégasque portée vers l'avant. Avec un grand nombre de ballons récupérés cette saison, son profil box to box et son influence majeure sur l'équipe, le Genevois est omniprésent dans l'entrejeu.
Sa polyvalence lui permet d'évoluer comme sentinelle ou même défenseur central selon les besoins. « C'est un joueur polyvalent qui peut jouer soit en défense, soit au milieu de terrain. Il est très intelligent, toujours bien positionné », louait déjà Adi Hütter.
L'absence du capitaine suisse (61 sélections) coïncide avec une période noire. Monaco, 7e de Ligue 1 avec 14 points en 8 matchs, n'a glané que 2 points lors des 3 dernières journées de championnat. Le changement d'entraîneur – Pocognoli a remplacé Hütter pendant la trêve – n'a rien changé pour l'instant, même s'il est impossible de tirer des enseignement sur un seul match.
« On a manqué de réalisme devant le but. C'est frustrant », reconnaissait le Belge après le match nul à Angers. Mais c'est surtout derrière que ça coince. Sans Zakaria pour protéger la défense, Monaco encaisse trop facilement.
Le problème ne se limite toutefois pas à Zakaria. Monaco doit actuellement composer sans Hradecky, Dier, Mawissa, Vanderson, Lamine Camara et Paul Pogba. Un infirmerie pleine à craquer qui place l'ASM dans une situation délicate avant le choc face à Tottenham ce mercredi en Ligue des champions.
Les données sont implacables. Avec Zakaria depuis août 2024, l'ASM affiche un bilan remarquable : 21 victoires, 6 nuls et 9 défaites pour une moyenne de 1,92 point par match. Sans lui sur la même période : seulement 6 victoires, 7 nuls et 8 défaites, soit 1,19 point par match. (données compilées par @AlyumdrA).
Une différence abyssale de 0,73 point par rencontre qui illustre la dépendance totale de Monaco envers son numéro 6. Le constat est plus cruel que jamais. Depuis son absence, les Monégasques enchaînent les désillusions : défaite 4-1 à Bruges, défaite 3-1 à Lorient, nul 2-2 contre Nice, et tout récemment un nul frustrant 1-1 à Angers pour la première de Sébastien Pocognoli sur le banc.
Denis Zakaria n'est pas qu'un simple récupérateur. C'est le métronome, le garant de l'équilibre d'une formation monégasque portée vers l'avant. Avec un grand nombre de ballons récupérés cette saison, son profil box to box et son influence majeure sur l'équipe, le Genevois est omniprésent dans l'entrejeu.
Sa polyvalence lui permet d'évoluer comme sentinelle ou même défenseur central selon les besoins. « C'est un joueur polyvalent qui peut jouer soit en défense, soit au milieu de terrain. Il est très intelligent, toujours bien positionné », louait déjà Adi Hütter.
L'absence du capitaine suisse (61 sélections) coïncide avec une période noire. Monaco, 7e de Ligue 1 avec 14 points en 8 matchs, n'a glané que 2 points lors des 3 dernières journées de championnat. Le changement d'entraîneur – Pocognoli a remplacé Hütter pendant la trêve – n'a rien changé pour l'instant, même s'il est impossible de tirer des enseignement sur un seul match.
« On a manqué de réalisme devant le but. C'est frustrant », reconnaissait le Belge après le match nul à Angers. Mais c'est surtout derrière que ça coince. Sans Zakaria pour protéger la défense, Monaco encaisse trop facilement.
Le problème ne se limite toutefois pas à Zakaria. Monaco doit actuellement composer sans Hradecky, Dier, Mawissa, Vanderson, Lamine Camara et Paul Pogba. Un infirmerie pleine à craquer qui place l'ASM dans une situation délicate avant le choc face à Tottenham ce mercredi en Ligue des champions.
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