Berke Özer entre dans l'histoire du football européen. Le gardien turc du LOSC a réalisé jeudi soir l'invraisemblable en arrêtant trois penalties consécutifs face à l'AS Rome, permettant aux Lillois de s'imposer 1-0 au Stade Olympique et de réussir un coup de maître en Ligue Europa.
Tout bascule à la 82e minute lorsque l'arbitre belge Erik Lambrechts siffle penalty pour une main d'Aïssa Mandi. Artem Dovbyk se présente face à Özer, qui plonge parfaitement et détourne la tentative ukrainienne. Mais l'arbitre ordonne la reprise du tir car Thomas Meunier était entré trop tôt dans la surface.
Deuxième tentative, même scénario : Dovbyk frappe au même endroit, Özer plonge encore à gauche et repousse le ballon. Nouvel arrêt du jeu, cette fois pour avoir quitté sa ligne trop tôt. Troisième penalty à tirer, changement de tireur : Matías Soulé remplace l'Ukrainien mais tombe lui aussi sur un Berke Özer héroïque, qui anticipe parfaitement le changement de côté de l'Argentin.
« C'est une soirée de folie. Avant le match, j'ai promis à ma copine que je ne prendrais pas de but. Elle m'a dit que ça faisait un moment que je n'avais pas fait un clean sheet », a révélé le héros de la soirée au micro de Canal+. Une promesse tenue de la plus belle des manières.
L'entraîneur lillois Bruno Genesio n'en revenait pas après cette séquence digne d'un film d'action. « Ces trois penalties arrêtés par Berke, je n'ai jamais vécu ça », a confié le technicien français en conférence de presse.
« Quand vous passez après l'un des meilleurs gardiens français (Lucas Chevalier), ce n'est pas simple à assumer. C'est difficile pour lui, c'est un jeune gardien méconnu », a-t-il ajouté, saluant la performance « exceptionnelle » de son portier.
Cette victoire permet au LOSC d'enchaîner un deuxième succès consécutif en Ligue Europa après avoir ouvert le score dès la 6e minute par Hakon Haraldsson. Les Lillois, avec 6 points, réalisent un début de campagne européenne parfait avant d'affronter le PSG dimanche.
Un exploit qui restera gravé dans les mémoires et qui propulse Berke Özer, arrivé cet été d'Eyüpspor pour 5 millions d'euros, au rang des héros lillois, même s'il faut avouer que les penalties ont globalement été mal tirés.
Tout bascule à la 82e minute lorsque l'arbitre belge Erik Lambrechts siffle penalty pour une main d'Aïssa Mandi. Artem Dovbyk se présente face à Özer, qui plonge parfaitement et détourne la tentative ukrainienne. Mais l'arbitre ordonne la reprise du tir car Thomas Meunier était entré trop tôt dans la surface.
Deuxième tentative, même scénario : Dovbyk frappe au même endroit, Özer plonge encore à gauche et repousse le ballon. Nouvel arrêt du jeu, cette fois pour avoir quitté sa ligne trop tôt. Troisième penalty à tirer, changement de tireur : Matías Soulé remplace l'Ukrainien mais tombe lui aussi sur un Berke Özer héroïque, qui anticipe parfaitement le changement de côté de l'Argentin.
« C'est une soirée de folie. Avant le match, j'ai promis à ma copine que je ne prendrais pas de but. Elle m'a dit que ça faisait un moment que je n'avais pas fait un clean sheet », a révélé le héros de la soirée au micro de Canal+. Une promesse tenue de la plus belle des manières.
L'entraîneur lillois Bruno Genesio n'en revenait pas après cette séquence digne d'un film d'action. « Ces trois penalties arrêtés par Berke, je n'ai jamais vécu ça », a confié le technicien français en conférence de presse.
« Quand vous passez après l'un des meilleurs gardiens français (Lucas Chevalier), ce n'est pas simple à assumer. C'est difficile pour lui, c'est un jeune gardien méconnu », a-t-il ajouté, saluant la performance « exceptionnelle » de son portier.
Cette victoire permet au LOSC d'enchaîner un deuxième succès consécutif en Ligue Europa après avoir ouvert le score dès la 6e minute par Hakon Haraldsson. Les Lillois, avec 6 points, réalisent un début de campagne européenne parfait avant d'affronter le PSG dimanche.
Un exploit qui restera gravé dans les mémoires et qui propulse Berke Özer, arrivé cet été d'Eyüpspor pour 5 millions d'euros, au rang des héros lillois, même s'il faut avouer que les penalties ont globalement été mal tirés.