Le match nul (1-1) arraché par Lille face au PSG dimanche soir au stade Pierre-Mauroy a laissé un goût d'inachevé au LOSC. Walid Acherchour, consultant RMC Sport, n'a pas mâché ses mots concernant l'approche tactique de Bruno Genesio face aux Parisiens. "Dès la compo de départ, le signal envoyé par Lille n'est pas bon", a t'il souligné, critiquant ouvertement la frilosité de l'entraîneur lillois.
L'analyse d'Acherchour s'est révélée particulièrement sévère quand il a évoqué la lecture de match de Genesio : "Et même dans la lecture du match, Genesio a été attentiste, Igamane remplace Giroud 15 minutes trop tard". Cette critique fait écho aux changements tardifs opérés par le technicien nordiste, qui n'a fait entrer Hamza Igamane qu'à la 76e minute pour suppléer un Olivier Giroud en difficulté.
Paradoxalement, le LOSC s'est retrouvé face à une équipe parisienne particulièrement diminuée. Luis Enrique avait aligné un milieu de terrain inédit composé de Lee Kang-in, Senny Mayulu et Quentin Ndjantou, ce dernier disputant seulement sa première titularisation professionnelle. Le milieu parisien n'était même pas le milieu B, mais le milieu C.
Cette composition expérimentale était la conséquence des multiples absences parisiennes : Dembélé, Doué, Kvaratskhelia, Marquinhos, Joao Neves et Fabian Ruiz manquaient à l'appel, tandis que Vitinha était laissé sur le banc, et Warren Zaïre-Emery remplaçait Achraf Hakimi sur le côté droit de la défense.
Au micro de Ligue 1+ après la rencontre, Bruno Genesio n'a pas caché sa déception : "On finit le match un peu frustré mais c'est un bon point car on revient au score en fin de match. Mais on n'a pas fait le match qu'on souhaitait". L'entraîneur lillois a reconnu que son équipe avait manqué d'audace et de justesse technique face à un adversaire pourtant affaibli.
"Dans l'utilisation du ballon et dans les espaces, il nous a manqué beaucoup de choses ce soir", a-t-il poursuivi, admettant implicitement que la fatigue du match européen contre Rome avait pu peser sur ses joueurs. Cette frustration transparaissait dans ses déclarations où il espérait voir "son équipe plus ambitieuse, notamment en première période".
Le salut est finalement venu d'Ethan Mbappé, entré à la 82e minute et auteur de l'égalisation à la 85e minute sous les yeux de son frère Kylian présent en tribunes. Un but qui a permis aux Dogues de sauver un point face à une formation parisienne qui n'avait pourtant pas ses armes habituelles.
L'analyse d'Acherchour s'est révélée particulièrement sévère quand il a évoqué la lecture de match de Genesio : "Et même dans la lecture du match, Genesio a été attentiste, Igamane remplace Giroud 15 minutes trop tard". Cette critique fait écho aux changements tardifs opérés par le technicien nordiste, qui n'a fait entrer Hamza Igamane qu'à la 76e minute pour suppléer un Olivier Giroud en difficulté.
Paradoxalement, le LOSC s'est retrouvé face à une équipe parisienne particulièrement diminuée. Luis Enrique avait aligné un milieu de terrain inédit composé de Lee Kang-in, Senny Mayulu et Quentin Ndjantou, ce dernier disputant seulement sa première titularisation professionnelle. Le milieu parisien n'était même pas le milieu B, mais le milieu C.
Cette composition expérimentale était la conséquence des multiples absences parisiennes : Dembélé, Doué, Kvaratskhelia, Marquinhos, Joao Neves et Fabian Ruiz manquaient à l'appel, tandis que Vitinha était laissé sur le banc, et Warren Zaïre-Emery remplaçait Achraf Hakimi sur le côté droit de la défense.
Au micro de Ligue 1+ après la rencontre, Bruno Genesio n'a pas caché sa déception : "On finit le match un peu frustré mais c'est un bon point car on revient au score en fin de match. Mais on n'a pas fait le match qu'on souhaitait". L'entraîneur lillois a reconnu que son équipe avait manqué d'audace et de justesse technique face à un adversaire pourtant affaibli.
"Dans l'utilisation du ballon et dans les espaces, il nous a manqué beaucoup de choses ce soir", a-t-il poursuivi, admettant implicitement que la fatigue du match européen contre Rome avait pu peser sur ses joueurs. Cette frustration transparaissait dans ses déclarations où il espérait voir "son équipe plus ambitieuse, notamment en première période".
Le salut est finalement venu d'Ethan Mbappé, entré à la 82e minute et auteur de l'égalisation à la 85e minute sous les yeux de son frère Kylian présent en tribunes. Un but qui a permis aux Dogues de sauver un point face à une formation parisienne qui n'avait pourtant pas ses armes habituelles.






