Bon, on ne va pas se mentir. Quand Ayyoub Bouaddi a pris son rouge à la 51e, on avait déjà préparé le tweet. Le brouillon était prêt. On s’imaginait déjà une fin de match en eau de boudin, une défaite face à une équipe du Havre qui n’en demandait pas tant. Et puis, ce diable d’Hamza Igamane est sorti de sa boîte pour nous mettre une clim monumentale.
Ce match au stade Océane était un bourbier. Un vrai. Pluie, tension, approximations techniques... Tout y était pour que Lille réalise une mauvaise opération, surtout après l'expulsion logique du jeune Ayyoub Bouaddi dès le retour des vestiaires. Réduits à 10, les Dogues ont souffert avant d'inverser une tendance qui était négative, et cela avec une solidarité défensive héroïque.
Face à eux ? Une équipe du Havre incapable de tuer le match. Les Normands ont pourtant eu les occasions, notamment par Kyeremeh et Soumaré, mais ont buté sur un bloc lillois en mode survie. C’était laborieux, c’était dur, mais ça tenait. Et dans ce genre de match qui sent le 0-0 ou la défaite cruelle à la 90e, il faut un éclaireur. Un mec capable de voir la lumière et de casser la tête de l'adversaire sur un coup de géne.
C’est là qu’intervient le tournant du match, à la 88e minute. Une action qui résume tout le potentiel du bonhomme. Hamza Igamane ne se contente pas de marquer ; il construit, il détruit, il finit.
Sur l’action du but, c’est lui qui déclenche tout. Physiquement, c’est n’importe quoi : il résiste à la charge de trois Havrais qui tentent de le bouger. Pas un, pas deux, mais trois mecs sur le dos ! Le gars reste debout, brutal dans l'impact mais d'une lucidité effrayante balle au pied. Il ne panique jamais. Il sert le jeu, le ballon navigue jusqu'à Haraldsson et Mbappé (le frère, calmez-vous), avant de revenir dans les pieds du Marocain pour la conclusion.
Ce diable de Igamane a écœuré les Havrais et a encore marqué les esprits. Bien sûr tout n'est pas parfait. Mais il fait partie de cette trempe de joueurs capables de débloquer un match en une action de génie.
Olivier Létang qui a pris son mal en patience pour réussir à le déloger des Glasgow Rangers en raison de négociations très compliquées avec le club écossais, a eu raison d'insister. Pour seulement 11.5 millions d'euros, le boss du LOSC a réussi un sérieux coup de force. Sacré flair !
Ce match au stade Océane était un bourbier. Un vrai. Pluie, tension, approximations techniques... Tout y était pour que Lille réalise une mauvaise opération, surtout après l'expulsion logique du jeune Ayyoub Bouaddi dès le retour des vestiaires. Réduits à 10, les Dogues ont souffert avant d'inverser une tendance qui était négative, et cela avec une solidarité défensive héroïque.
Face à eux ? Une équipe du Havre incapable de tuer le match. Les Normands ont pourtant eu les occasions, notamment par Kyeremeh et Soumaré, mais ont buté sur un bloc lillois en mode survie. C’était laborieux, c’était dur, mais ça tenait. Et dans ce genre de match qui sent le 0-0 ou la défaite cruelle à la 90e, il faut un éclaireur. Un mec capable de voir la lumière et de casser la tête de l'adversaire sur un coup de géne.
C’est là qu’intervient le tournant du match, à la 88e minute. Une action qui résume tout le potentiel du bonhomme. Hamza Igamane ne se contente pas de marquer ; il construit, il détruit, il finit.
Sur l’action du but, c’est lui qui déclenche tout. Physiquement, c’est n’importe quoi : il résiste à la charge de trois Havrais qui tentent de le bouger. Pas un, pas deux, mais trois mecs sur le dos ! Le gars reste debout, brutal dans l'impact mais d'une lucidité effrayante balle au pied. Il ne panique jamais. Il sert le jeu, le ballon navigue jusqu'à Haraldsson et Mbappé (le frère, calmez-vous), avant de revenir dans les pieds du Marocain pour la conclusion.
Ce diable de Igamane a écœuré les Havrais et a encore marqué les esprits. Bien sûr tout n'est pas parfait. Mais il fait partie de cette trempe de joueurs capables de débloquer un match en une action de génie.
Olivier Létang qui a pris son mal en patience pour réussir à le déloger des Glasgow Rangers en raison de négociations très compliquées avec le club écossais, a eu raison d'insister. Pour seulement 11.5 millions d'euros, le boss du LOSC a réussi un sérieux coup de force. Sacré flair !






