Un Clasico symbolique d’une saison cauchemardesque pour le Real Madrid. Face à un Barça inspiré, les carences structurelles des Blancs ont éclaté au grand jour.
Le Real Madrid, l’autodestruction d’un géant
Recrutement hasardeux, arrogance institutionnelle, jeu désincarné : le Real Madrid a accumulé les erreurs. La victoire des Merengue en finale de Ligue des Champions 2024 a masqué une déroute tactique patente. Le duo Mbappé-Vinicius, présenté comme une révolution, s’est transformé en cauchemar égoïste (9 passes décisives à eux deux en 54 matches). La défense n'a également pas été en reste avec 73 buts encaissés toutes compétitions confondues. Il faut remonter à une éternité pour voir une telle perméabilité.
Les attaques systématiques contre l’arbitrage via Real Madrid TV ont révélé une culture du déni toxique. Pointant du doigt un Barça favorisé, la chaîne officielle publiait des montages accusant les officiels de « corruption systémique ». Même Carlo Ancelotti, d’habitude si diplomate, a lâché : « Notre jeu ? Il plaît aux statisticiens ».
Ironie du sort : le Real offre au Barça son plus beau rôle. Avec 16 buts marqués en 4 confrontations directes, les Blaugranas ont exposé chaque faille madrilène. Le 4-3 de ce dimanche résume tout. Surtout, le Barça incarne désormais l’anti-Real.
Espérons désormais pour le Real Madrid que la probable arrivée de Xabi Alonso puisse remettre de l'ordre dans un vestiaire qui s'effrite par un individualisme que Carlo Ancelotti n'arrive plus à contrôler.
Les attaques systématiques contre l’arbitrage via Real Madrid TV ont révélé une culture du déni toxique. Pointant du doigt un Barça favorisé, la chaîne officielle publiait des montages accusant les officiels de « corruption systémique ». Même Carlo Ancelotti, d’habitude si diplomate, a lâché : « Notre jeu ? Il plaît aux statisticiens ».
Ironie du sort : le Real offre au Barça son plus beau rôle. Avec 16 buts marqués en 4 confrontations directes, les Blaugranas ont exposé chaque faille madrilène. Le 4-3 de ce dimanche résume tout. Surtout, le Barça incarne désormais l’anti-Real.
Espérons désormais pour le Real Madrid que la probable arrivée de Xabi Alonso puisse remettre de l'ordre dans un vestiaire qui s'effrite par un individualisme que Carlo Ancelotti n'arrive plus à contrôler.