Trois mois d’invincibilité, quatorze matchs sans défaite toutes compétitions confondues : le promu manceau s’est invité au sommet d’une Ligue 2 réputée impitoyable, au point de s’installer à la 2e place après son succès 2-1 sur la pelouse d’Annecy.
Portée par un bloc compact, un collectif solide et une efficacité clinique dans les zones décisives, la série s’est construite par paliers. Le Mans avait enchainé dix rencontres de Ligue 2 sans défaite avant de prolonger cette dynamique face à Amiens (1-0) puis à Annecy. Sans avoir de grosses individualités, Patrick Videira a réussi à fédérer un groupe de lâche rien.
En se glissant entre le leader troyen et l’ASSE au soir de la 17e journée, avec un match d'avance, Le Mans n’affiche plus seulement un objectif maintien, mais s’invite dans la lutte pour la montée directe. Juste fou pour une équipe qui évoluait en National la saison dernière.
Cette envolée réveille forcément le souvenir de la grande époque du MUC 72. Cette formation mancelle de la moitié à la fin des années 2000 alignait des joueurs comme Yohann Pelé, Marko Baša, Romaric, Gervinho, Daisuke Matsui ou encore Túlio De Melo autour d’un Stéphane Sessègnon étincelant. Une armada offensive régulièrement citée en exemple lorsqu’il s’agit d’évoquer la belle époque du Mans.
Si la route vers la Ligue 1 reste longue, la série actuelle oblige la formation sarthoise à avoir des ambitions pour cette saison.
Portée par un bloc compact, un collectif solide et une efficacité clinique dans les zones décisives, la série s’est construite par paliers. Le Mans avait enchainé dix rencontres de Ligue 2 sans défaite avant de prolonger cette dynamique face à Amiens (1-0) puis à Annecy. Sans avoir de grosses individualités, Patrick Videira a réussi à fédérer un groupe de lâche rien.
En se glissant entre le leader troyen et l’ASSE au soir de la 17e journée, avec un match d'avance, Le Mans n’affiche plus seulement un objectif maintien, mais s’invite dans la lutte pour la montée directe. Juste fou pour une équipe qui évoluait en National la saison dernière.
Cette envolée réveille forcément le souvenir de la grande époque du MUC 72. Cette formation mancelle de la moitié à la fin des années 2000 alignait des joueurs comme Yohann Pelé, Marko Baša, Romaric, Gervinho, Daisuke Matsui ou encore Túlio De Melo autour d’un Stéphane Sessègnon étincelant. Une armada offensive régulièrement citée en exemple lorsqu’il s’agit d’évoquer la belle époque du Mans.
Si la route vers la Ligue 1 reste longue, la série actuelle oblige la formation sarthoise à avoir des ambitions pour cette saison.






