Le Paris Saint-Germain est entré dans une "colère noire" après la blessure d'Ousmane Dembélé avec l'équipe de France. Le club de la capitale avait pourtant expressément demandé au staff des Bleus de ne pas faire jouer l'attaquant, compte tenu de son "état de fatigue" et du "haut risque de blessure".
"C'est complètement fou de l'avoir fait jouer", souffle-t-on dans les couloirs du PSG selon Le Parisien. La direction parisienne affirme avoir prévenu le staff médical de l'équipe de France avant même le début du rassemblement qu'il ne fallait pas utiliser Dembélé.
L'ancien barcelonais, déjà touché à la cuisse gauche contre Toulouse, s'est cette fois blessé à la cuisse droite après seulement 30 minutes de jeu. Une récidive qui devrait le priver de la première journée de Ligue des Champions face à l'Atalanta (17 septembre) et du Classique à Marseille (21 septembre). Du côté du PSG on craint même une absence longue durée pour le "futur" Ballon d'Or.
La situation s'envenime également pour Désiré Doué. Bien que Didier Deschamps minimise sa blessure au mollet - "Je ne pense pas que ce soit trop méchant" - le staff du PSG a réclamé son retour immédiat à Paris pour se soigner.
Selon certaines indiscrétions, Luis Enrique et son staff ont exigé à ce que le jeune milieu offensif quitte le rassemblement des Bleus pour être pris en charge au centre d'entraînement parisien. Une demande révélatrice des tensions entre les deux camps, mais qui a été entendue selon L'Equipe.
Cette méfiance du PSG s'explique par l'état physique préoccupant de l'effectif. Après une saison dernière totalement folle avec plus de 60 matchs au compteur, les joueurs parisiens qui ont disputé le Coupe du Monde des Clubs, ont à peine eu trois semaines de vacances, et ont surtout vu leur préparation estivale être totalement tronquée.
À l'inverse, Walid Regragui a parfaitement saisi l'enjeu en ménageant Achraf Hakimi face à la Zambie. "Je vais le faire reposer, il en a besoin", a déclaré le sélectionneur marocain, démontrant une gestion intelligente de ses cadres.
Cette approche contraste avec celle de Deschamps, qui persiste à défendre ses choix : "Il se sentait bien, on a fait tout ce qu'il fallait". Mais pour le PSG, cette justification ne passe plus. Une communication entre les deux staffs médicaux était prévue ce samedi pour clarifier la situation.
À dix jours du lancement de la nouvelle campagne européenne, cette crise relationnelle tombe au pire moment pour un PSG déjà fragilisé physiquement et privé de son entraîneur Luis Enrique, fracturé à la clavicule après une chute à vélo.
"C'est complètement fou de l'avoir fait jouer", souffle-t-on dans les couloirs du PSG selon Le Parisien. La direction parisienne affirme avoir prévenu le staff médical de l'équipe de France avant même le début du rassemblement qu'il ne fallait pas utiliser Dembélé.
L'ancien barcelonais, déjà touché à la cuisse gauche contre Toulouse, s'est cette fois blessé à la cuisse droite après seulement 30 minutes de jeu. Une récidive qui devrait le priver de la première journée de Ligue des Champions face à l'Atalanta (17 septembre) et du Classique à Marseille (21 septembre). Du côté du PSG on craint même une absence longue durée pour le "futur" Ballon d'Or.
La situation s'envenime également pour Désiré Doué. Bien que Didier Deschamps minimise sa blessure au mollet - "Je ne pense pas que ce soit trop méchant" - le staff du PSG a réclamé son retour immédiat à Paris pour se soigner.
Selon certaines indiscrétions, Luis Enrique et son staff ont exigé à ce que le jeune milieu offensif quitte le rassemblement des Bleus pour être pris en charge au centre d'entraînement parisien. Une demande révélatrice des tensions entre les deux camps, mais qui a été entendue selon L'Equipe.
Cette méfiance du PSG s'explique par l'état physique préoccupant de l'effectif. Après une saison dernière totalement folle avec plus de 60 matchs au compteur, les joueurs parisiens qui ont disputé le Coupe du Monde des Clubs, ont à peine eu trois semaines de vacances, et ont surtout vu leur préparation estivale être totalement tronquée.
À l'inverse, Walid Regragui a parfaitement saisi l'enjeu en ménageant Achraf Hakimi face à la Zambie. "Je vais le faire reposer, il en a besoin", a déclaré le sélectionneur marocain, démontrant une gestion intelligente de ses cadres.
Cette approche contraste avec celle de Deschamps, qui persiste à défendre ses choix : "Il se sentait bien, on a fait tout ce qu'il fallait". Mais pour le PSG, cette justification ne passe plus. Une communication entre les deux staffs médicaux était prévue ce samedi pour clarifier la situation.
À dix jours du lancement de la nouvelle campagne européenne, cette crise relationnelle tombe au pire moment pour un PSG déjà fragilisé physiquement et privé de son entraîneur Luis Enrique, fracturé à la clavicule après une chute à vélo.