Le Paris Saint-Germain a adressé une lettre officielle à la Fédération espagnole de football pour saluer « l'excellente attention accordée à Fabian Ruiz ». Cette initiative diplomatique de Nasser Al-Khelaïfi constitue une pique indirecte à la Fédération française de football après les blessures d'Ousmane Dembélé et Désiré Doué lors du match France-Ukraine.
Dans ce courrier publié par les médias espagnols, le président du PSG exprime sa « sincère gratitude » pour « l'excellent soin et l'attention prodigués » au milieu de terrain espagnol. Une démarche qui contraste avec les tensions actuelles entre le club parisien et la FFF concernant la gestion médicale des internationaux français.
« Au nom du PSG, je souhaite vous exprimer ma sincère gratitude, ainsi qu'à la Fédération Royale Espagnole de Football, pour l'excellente attention et considération accordées à notre joueur, Fabian Ruiz », écrit Al-Khelaïfi dans sa lettre adressée à Rafael Louzan, président de la RFEF.
Le dirigeant qatari salue particulièrement « le professionnalisme, l'expertise médicale et le soutien » dont ont fait preuve les équipes espagnoles, permettant au joueur « de revenir au club pendant la trêve internationale de la FIFA ». Cette mention du retour anticipé de Ruiz souligne implicitement la différence de traitement avec les Bleus.
Cette lettre élogieuse intervient dans un contexte de forte tension entre le PSG et la FFF. Dembélé et Doué, tous deux blessés face à l'Ukraine malgré les réserves émises par le club parisien, seront absents respectivement six et quatre semaines. Le PSG avait pourtant fourni « le dossier médical en disant : pour nous, il ne faut pas qu'il joue » selon les révélations de Daniel Riolo.
« Le bien-être de nos joueurs est toujours une priorité partagée, et votre engagement à préserver leur santé reflète la relation solide et le respect mutuel qui existent entre nos institutions », conclut significativement Al-Khelaïfi dans sa missive. Une phrase qui résonne comme un reproche indirect aux méthodes françaises.
Luis Enrique, interrogé sur cette polémique, a maintenu une position diplomatique : « Rien de ce que je peux dire ici, de positif ou de négatif, n'améliorera la santé des joueurs blessés. Pour moi, en tant qu'entraîneur, la chose la plus importante, c'est la santé des joueurs ».
Cette stratégie de communication du PSG illustre parfaitement l'art de la diplomatie footballistique : féliciter publiquement l'Espagne pour mieux critiquer implicitement la France. Un message qui devrait faire réfléchir la FFF sur ses protocoles médicaux.
Dans ce courrier publié par les médias espagnols, le président du PSG exprime sa « sincère gratitude » pour « l'excellent soin et l'attention prodigués » au milieu de terrain espagnol. Une démarche qui contraste avec les tensions actuelles entre le club parisien et la FFF concernant la gestion médicale des internationaux français.
« Au nom du PSG, je souhaite vous exprimer ma sincère gratitude, ainsi qu'à la Fédération Royale Espagnole de Football, pour l'excellente attention et considération accordées à notre joueur, Fabian Ruiz », écrit Al-Khelaïfi dans sa lettre adressée à Rafael Louzan, président de la RFEF.
Le dirigeant qatari salue particulièrement « le professionnalisme, l'expertise médicale et le soutien » dont ont fait preuve les équipes espagnoles, permettant au joueur « de revenir au club pendant la trêve internationale de la FIFA ». Cette mention du retour anticipé de Ruiz souligne implicitement la différence de traitement avec les Bleus.
Cette lettre élogieuse intervient dans un contexte de forte tension entre le PSG et la FFF. Dembélé et Doué, tous deux blessés face à l'Ukraine malgré les réserves émises par le club parisien, seront absents respectivement six et quatre semaines. Le PSG avait pourtant fourni « le dossier médical en disant : pour nous, il ne faut pas qu'il joue » selon les révélations de Daniel Riolo.
« Le bien-être de nos joueurs est toujours une priorité partagée, et votre engagement à préserver leur santé reflète la relation solide et le respect mutuel qui existent entre nos institutions », conclut significativement Al-Khelaïfi dans sa missive. Une phrase qui résonne comme un reproche indirect aux méthodes françaises.
Luis Enrique, interrogé sur cette polémique, a maintenu une position diplomatique : « Rien de ce que je peux dire ici, de positif ou de négatif, n'améliorera la santé des joueurs blessés. Pour moi, en tant qu'entraîneur, la chose la plus importante, c'est la santé des joueurs ».
Cette stratégie de communication du PSG illustre parfaitement l'art de la diplomatie footballistique : féliciter publiquement l'Espagne pour mieux critiquer implicitement la France. Un message qui devrait faire réfléchir la FFF sur ses protocoles médicaux.
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