Quand un buteur étranger arrive en Ligue 1 pour 16 millions d'euros, le scepticisme domine souvent. Joaquín Panichelli a balayé tous les doutes en quelques semaines seulement. Auteur de 9 buts en 16 matchs de Ligue 1 avec le RC Strasbourg cette saison, l'Argentin de 23 ans s'impose comme l'une des révélations du championnat de France. Et son style ne doit rien au hasard : il s'inspire directement d'Olivier Giroud, son modèle absolu.
Dans une interview accordée à l'UEFA, Panichelli a livré les clés de son jeu et de sa philosophie. "J'ai toujours dit que j'admirais beaucoup Olivier Giroud. Je me retrouvais un peu en lui", confie le natif de Córdoba. Ce n'est pas un hasard si l'Argentin cite le champion du monde 2018 comme référence principale. Comme Giroud, reconnu pour sa capacité à combiner présence physique, jeu de remise et technique raffinée, Panichelli incarne ce profil d'avant-centre complet, aussi à l'aise dans la surface que dans la construction du jeu.
"J'ai toujours vu en Giroud un avant-centre avec une énorme présence dans la surface, capable aussi d'apporter techniquement. Ce n'était pas seulement un buteur. Quand il décrochait, il aidait l'équipe dans le jeu", explique-t-il. Une admiration qui s'est transformée en moment magique le 9 novembre dernier : après la victoire de Strasbourg 2-0 contre Lille, Panichelli a échangé son maillot avec Giroud, de numéro 9 à numéro 9. "C'était incroyable, c'était un modèle pour moi", confie-t-il avec émotion.
Toujours est-il que le parcours de Panichelli force le respect. Après une grave blessure au ligament croisé qui a plombé son début d'aventure à Alavés en 2023, l'Argentin a explosé lors d'un prêt à Mirandés en deuxième division espagnole. Ses statistiques parlent d'elles-mêmes : 21 buts et 8 passes décisives en 44 matchs. Une métamorphose qui n'est pas seulement statistique. En effet, Panichelli a gagné en puissance physique sur cette période avec 8 kilos de masse musculaire en place, ce qui fait aujourd'hui sa force.
Strasbourg n'a pas hésité à débourser 16,5 millions d'euros (plus 3,5 millions de bonus) pour s'attacher ses services à l'été 2025. Un pari déjà gagnant. Avec 9 buts en Ligue 1 cette saison, Panichelli figure parmi les meilleurs buteurs de Ligue 1. Ses performances ont même ouvert les portes de la sélection argentine : en novembre 2025, Lionel Scaloni l'a convoqué pour la première fois pour un match amical contre l'Angola. Une consécration pour celui qui a grandi en admirant Lionel Messi, avec qui il a désormais l'occasion de s'entraîner.
À peine six mois après son arrivée à Strasbourg, Panichelli affole déjà le marché des transferts. Comme l'a confirmé son agent Martin Guastadisegno, l'AC Milan suit le jeune Argentin "depuis un certain temps". Le club lombard, en quête de solutions offensives après les difficultés de Santiago Giménez, voit en Panichelli un profil prometteur pour l'avenir. Chelsea, qui partage la même structure de propriété que Strasbourg via BlueCo, figure également sur les rangs.
Sous contrat jusqu'en 2030 avec le RCSA, Panichelli n'est pas pressé. "Le football représente tout pour moi. J'essaie de donner le maximum à chaque entraînement et à chaque match", affirme-t-il. Un discours d'humilité qui rappelle celui de son modèle Giroud, souvent sous-estimé. Entre puissance physique, sens du but et intelligence collective, l'Argentin prouve que les avant-centres à l'ancienne ont encore leur place dans le football moderne.
Dans une interview accordée à l'UEFA, Panichelli a livré les clés de son jeu et de sa philosophie. "J'ai toujours dit que j'admirais beaucoup Olivier Giroud. Je me retrouvais un peu en lui", confie le natif de Córdoba. Ce n'est pas un hasard si l'Argentin cite le champion du monde 2018 comme référence principale. Comme Giroud, reconnu pour sa capacité à combiner présence physique, jeu de remise et technique raffinée, Panichelli incarne ce profil d'avant-centre complet, aussi à l'aise dans la surface que dans la construction du jeu.
"J'ai toujours vu en Giroud un avant-centre avec une énorme présence dans la surface, capable aussi d'apporter techniquement. Ce n'était pas seulement un buteur. Quand il décrochait, il aidait l'équipe dans le jeu", explique-t-il. Une admiration qui s'est transformée en moment magique le 9 novembre dernier : après la victoire de Strasbourg 2-0 contre Lille, Panichelli a échangé son maillot avec Giroud, de numéro 9 à numéro 9. "C'était incroyable, c'était un modèle pour moi", confie-t-il avec émotion.
Toujours est-il que le parcours de Panichelli force le respect. Après une grave blessure au ligament croisé qui a plombé son début d'aventure à Alavés en 2023, l'Argentin a explosé lors d'un prêt à Mirandés en deuxième division espagnole. Ses statistiques parlent d'elles-mêmes : 21 buts et 8 passes décisives en 44 matchs. Une métamorphose qui n'est pas seulement statistique. En effet, Panichelli a gagné en puissance physique sur cette période avec 8 kilos de masse musculaire en place, ce qui fait aujourd'hui sa force.
Strasbourg n'a pas hésité à débourser 16,5 millions d'euros (plus 3,5 millions de bonus) pour s'attacher ses services à l'été 2025. Un pari déjà gagnant. Avec 9 buts en Ligue 1 cette saison, Panichelli figure parmi les meilleurs buteurs de Ligue 1. Ses performances ont même ouvert les portes de la sélection argentine : en novembre 2025, Lionel Scaloni l'a convoqué pour la première fois pour un match amical contre l'Angola. Une consécration pour celui qui a grandi en admirant Lionel Messi, avec qui il a désormais l'occasion de s'entraîner.
À peine six mois après son arrivée à Strasbourg, Panichelli affole déjà le marché des transferts. Comme l'a confirmé son agent Martin Guastadisegno, l'AC Milan suit le jeune Argentin "depuis un certain temps". Le club lombard, en quête de solutions offensives après les difficultés de Santiago Giménez, voit en Panichelli un profil prometteur pour l'avenir. Chelsea, qui partage la même structure de propriété que Strasbourg via BlueCo, figure également sur les rangs.
Sous contrat jusqu'en 2030 avec le RCSA, Panichelli n'est pas pressé. "Le football représente tout pour moi. J'essaie de donner le maximum à chaque entraînement et à chaque match", affirme-t-il. Un discours d'humilité qui rappelle celui de son modèle Giroud, souvent sous-estimé. Entre puissance physique, sens du but et intelligence collective, l'Argentin prouve que les avant-centres à l'ancienne ont encore leur place dans le football moderne.