Emanuel Emegha n'y est pas allé par quatre chemins. Le capitaine du Racing Club de Strasbourg vient de livrer une anecdote croustillante sur son arrivée en Alsace en 2023. Dans les colonnes du quotidien néerlandais Algemeen Dagblad, le buteur de 22 ans a confessé une méprise géographique embarrassante.
« Pour être honnête, je ne savais même pas où c'était. Je pensais que c'était en Allemagne, mais c'est en France », lâche-t-il avec un sourire.
Emegha ne s'arrête pas là. Avec une assurance qui rappelle les sorties médiatiques de Zlatan Ibrahimovic, il ajoute : « Maintenant, je pense que tout le monde connaît Strasbourg ». Une déclaration qui résonne comme la fameuse phrase du Suédois : « J'ai placé la Suède sur la carte du monde et, maintenant, j'ai aussi placé la France sur une carte du monde ».
Le parallèle avec Ibrahimovic ne s'arrête pas là. Comme l'ancien attaquant du PSG qui clamait être « le nord, le sud, l'est et l'ouest », Emegha affiche une confiance débordante dans ses capacités.
« Strasbourg avait vraiment un projet avec les jeunes joueurs comme moi. J'ai été le premier avec lequel ils se sont lancés dans cette aventure, et la saison prochaine, je rejoindrai Chelsea. Tout s'est donc passé comme je l'espérais », explique-t-il à l'AD.
Le Néerlandais se présente comme le facteur X du club alsacien. Il n'hésite pas à justifier les défaites contre l'AS Monaco, l'Olympique Lyonnais et le Stade Rennais par son absence due à une blessure aux ischio-jambiers. Un discours qui a fait bondir certains supporters strasbourgeois, déjà échaudés par l'annonce de son transfert à Chelsea en septembre 2025.
Sur le terrain, Emegha a les arguments. L'attaquant néerlandais qui reste sur une bonne saison affiche un bilan positif de 6 buts et 2 passes décisives en seulement 8 matchs cette saison. Lors du dernier exercice, il avait déjà inscrit 14 réalisations et délivré 3 assists en 27 apparitions.
Son efficacité lui a valu sa première convocation en équipe nationale des Pays-Bas en novembre 2025. Ronald Koeman l'a appelé pour les éliminatoires de la Coupe du monde contre la Pologne et la Lituanie.
Comme Zlatan à ses débuts, Emegha divise. Certains y voient de l'arrogance, d'autres une confiance légitime. « Zlatan avait de l'aura, et le faisait exprès par rapport aux journalistes. Emegha n'a ni de l'aura pour le moment, et a un gros melon », commente un supporter sur les réseaux sociaux.
Le capitaine strasbourgeois rejoindra Chelsea à l'été 2026. D'ici là, il compte bien continuer à faire parler de lui. « Je veux aller le plus haut possible, jouer la C1, le Mondial », affirmait-il lors de l'annonce de son transfert.
Une ambition démesurée ? Peut-être. Mais comme le disait Zlatan : « Je n'ai pas besoin d'un ballon d'or pour savoir que je suis le meilleur ». Emegha, lui, commence tout juste à se faire un "nom".
« Pour être honnête, je ne savais même pas où c'était. Je pensais que c'était en Allemagne, mais c'est en France », lâche-t-il avec un sourire.
Emegha ne s'arrête pas là. Avec une assurance qui rappelle les sorties médiatiques de Zlatan Ibrahimovic, il ajoute : « Maintenant, je pense que tout le monde connaît Strasbourg ». Une déclaration qui résonne comme la fameuse phrase du Suédois : « J'ai placé la Suède sur la carte du monde et, maintenant, j'ai aussi placé la France sur une carte du monde ».
Le parallèle avec Ibrahimovic ne s'arrête pas là. Comme l'ancien attaquant du PSG qui clamait être « le nord, le sud, l'est et l'ouest », Emegha affiche une confiance débordante dans ses capacités.
« Strasbourg avait vraiment un projet avec les jeunes joueurs comme moi. J'ai été le premier avec lequel ils se sont lancés dans cette aventure, et la saison prochaine, je rejoindrai Chelsea. Tout s'est donc passé comme je l'espérais », explique-t-il à l'AD.
Le Néerlandais se présente comme le facteur X du club alsacien. Il n'hésite pas à justifier les défaites contre l'AS Monaco, l'Olympique Lyonnais et le Stade Rennais par son absence due à une blessure aux ischio-jambiers. Un discours qui a fait bondir certains supporters strasbourgeois, déjà échaudés par l'annonce de son transfert à Chelsea en septembre 2025.
Sur le terrain, Emegha a les arguments. L'attaquant néerlandais qui reste sur une bonne saison affiche un bilan positif de 6 buts et 2 passes décisives en seulement 8 matchs cette saison. Lors du dernier exercice, il avait déjà inscrit 14 réalisations et délivré 3 assists en 27 apparitions.
Son efficacité lui a valu sa première convocation en équipe nationale des Pays-Bas en novembre 2025. Ronald Koeman l'a appelé pour les éliminatoires de la Coupe du monde contre la Pologne et la Lituanie.
Comme Zlatan à ses débuts, Emegha divise. Certains y voient de l'arrogance, d'autres une confiance légitime. « Zlatan avait de l'aura, et le faisait exprès par rapport aux journalistes. Emegha n'a ni de l'aura pour le moment, et a un gros melon », commente un supporter sur les réseaux sociaux.
Le capitaine strasbourgeois rejoindra Chelsea à l'été 2026. D'ici là, il compte bien continuer à faire parler de lui. « Je veux aller le plus haut possible, jouer la C1, le Mondial », affirmait-il lors de l'annonce de son transfert.
Une ambition démesurée ? Peut-être. Mais comme le disait Zlatan : « Je n'ai pas besoin d'un ballon d'or pour savoir que je suis le meilleur ». Emegha, lui, commence tout juste à se faire un "nom".