Les Girondins de Bordeaux version Gérard Lopez continuent d'enchaîner les mauvaises nouvelles. Le FCGB est devenu un cas d'école en matière de déconfiture financière.
Selon La Voz de Asturias, la FIFA a tranché dans le litige opposant le Sporting Gijon aux Girondins de Bordeaux. Le club espagnol réclamait 1,5 million d'euros pour le transfert de Pedro Diaz, milieu recruté à l'été 2023. Bordeaux espérait s'en sortir avec une ristourne massive : 10% échelonnés sur dix ans, comme proposé aux autres créanciers dans le plan de continuation. Mais Gijon a refusé net. Et saisi la FIFA.
Le Tribunal arbitral de la FIFA a donné raison au club asturien. Bordeaux devra rembourser l'intégralité de la dette, plus pénalités et intérêts de retard. Un coup dur supplémentaire pour un club qui doit déjà 26 millions d'euros sur dix ans selon le plan validé par le tribunal de commerce.
Cette décision était prévisible. La FIFA sanctionne systématiquement les mauvais payeurs en matière de transferts. L'instance internationale ne badine pas avec les impayés : interdiction de recrutement, amendes, voire suspension.
Bordeaux doit aujourd'hui près de 9,5 millions d'euros à huit clubs pour des transferts non soldés. Le problème ? Ces créances sportives pèsent sur toute tentative de rachat. Aucun repreneur sérieux ne prendra le risque d'hériter de ce passif explosif. Les sanctions FIFA menacent.
Oliver Kahn avait tenté sa chance. Son offre a été jugée irrecevable faute de garanties suffisantes. Depuis, plus personne au portillon. Le plan Lopez est le seul debout, mais avec cette épée de Damoclès FIFA, l'avenir reste sombre.
Pedro Diaz, lui, a quitté Bordeaux librement après la perte du statut pro. Le Sporting a perdu au passage les 41% sur une future revente prévus dans le deal initial. Une frustration supplémentaire pour Gijon, qui a bien l'intention de récupérer son dû. Même si le club reconnaît que le recouvrement sera "compliqué".
En National 2, Bordeaux survit. Mais chaque décision comme celle-ci rapproche un peu plus le club au bord du gouffre.
Selon La Voz de Asturias, la FIFA a tranché dans le litige opposant le Sporting Gijon aux Girondins de Bordeaux. Le club espagnol réclamait 1,5 million d'euros pour le transfert de Pedro Diaz, milieu recruté à l'été 2023. Bordeaux espérait s'en sortir avec une ristourne massive : 10% échelonnés sur dix ans, comme proposé aux autres créanciers dans le plan de continuation. Mais Gijon a refusé net. Et saisi la FIFA.
Le Tribunal arbitral de la FIFA a donné raison au club asturien. Bordeaux devra rembourser l'intégralité de la dette, plus pénalités et intérêts de retard. Un coup dur supplémentaire pour un club qui doit déjà 26 millions d'euros sur dix ans selon le plan validé par le tribunal de commerce.
Cette décision était prévisible. La FIFA sanctionne systématiquement les mauvais payeurs en matière de transferts. L'instance internationale ne badine pas avec les impayés : interdiction de recrutement, amendes, voire suspension.
Bordeaux doit aujourd'hui près de 9,5 millions d'euros à huit clubs pour des transferts non soldés. Le problème ? Ces créances sportives pèsent sur toute tentative de rachat. Aucun repreneur sérieux ne prendra le risque d'hériter de ce passif explosif. Les sanctions FIFA menacent.
Oliver Kahn avait tenté sa chance. Son offre a été jugée irrecevable faute de garanties suffisantes. Depuis, plus personne au portillon. Le plan Lopez est le seul debout, mais avec cette épée de Damoclès FIFA, l'avenir reste sombre.
Pedro Diaz, lui, a quitté Bordeaux librement après la perte du statut pro. Le Sporting a perdu au passage les 41% sur une future revente prévus dans le deal initial. Une frustration supplémentaire pour Gijon, qui a bien l'intention de récupérer son dû. Même si le club reconnaît que le recouvrement sera "compliqué".
En National 2, Bordeaux survit. Mais chaque décision comme celle-ci rapproche un peu plus le club au bord du gouffre.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
