La lune de miel est terminée en Alsace. Après une défaite frustrante (1-2) face au Stade Brestois ce dimanche, Liam Rosenior a rangé son costume de gentleman pour sortir la sulfateuse. Le message est clair : la jeunesse n’est plus une excuse.
Fini les sourires polis. Fini la patience pédagogique. Liam Rosenior est sorti de ses gonds après le revers du Racing face à Brest. Et franchement, on le comprend. Dominer, mener au score, puis s’écrouler tout seul comme des grands ? C’est inacceptable à ce niveau. Le coach anglais n’a pas mâché ses mots en conférence de presse d’après-match. Il est « fatigué » de répéter les mêmes leçons.
Ce qui a mis le feu aux poudres ? Ce penalty concédé bêtement au retour des vestiaires. Une offrande. Un cadeau de Noël avant l'heure. Pour Rosenior, c'est la goutte d'eau. « On leur donne un penalty ridicule en début de seconde période alors qu’il n’y avait pas de danger », a-t-il pesté.
Le constat est brutal mais lucide. Strasbourg avait le match en main. Contrôle total. Et puis, le trou noir. Dès le début de la seconde période les Alsaciens ont sérieusement baissé d'intensité. Pas de fatigue physique, pas d'usure mentale, juste une naïveté coupable. « On n’a pas su tuer le match quand on le pouvait », regrette le technicien. En Ligue 1, ce genre de laxisme se paie cash. Brest n’en demandait pas tant pour braquer la Meinau.
C’est là que le ton change vraiment. D’habitude protecteur, Rosenior a cette fois-ci mis ses joueurs face à leurs responsabilités. L'âge ? Il ne veut plus en entendre parler. « Ce n’est plus une excuse d’être jeune et de commettre des erreurs week-end après week-end », a-t-il lâché.
Le message est limpide : apprenez plus vite, ou allez voir ailleurs. L'Anglais exige d'« accélérer le processus d’apprentissage ». Traduction pour ceux qui n'ont pas compris ? Certains cadres défaillants ou jeunes trop tendres pourraient bien aller faire un tour sur le banc au prochain match. Rosenior a fini de jouer au grand frère sympa. Il veut des guerriers, pas des éternels espoirs. Le vestiaire est prévenu.
Le RC Strasbourg va devoir réagir, et vite ! Avec 3 revers lors des 4 dernières journées de Ligue 1, le RCSA commence à glisser tout doucement dans le ventre mou du classement, même si la quatrième place n'est qu'à 4 points. Néanmoins, une victoire face à Toulouse, le weekend prochain, est obligatoire pour éviter d'être décroché par des équipes comme Lille, Rennes, Lyon et Monaco.
Fini les sourires polis. Fini la patience pédagogique. Liam Rosenior est sorti de ses gonds après le revers du Racing face à Brest. Et franchement, on le comprend. Dominer, mener au score, puis s’écrouler tout seul comme des grands ? C’est inacceptable à ce niveau. Le coach anglais n’a pas mâché ses mots en conférence de presse d’après-match. Il est « fatigué » de répéter les mêmes leçons.
Ce qui a mis le feu aux poudres ? Ce penalty concédé bêtement au retour des vestiaires. Une offrande. Un cadeau de Noël avant l'heure. Pour Rosenior, c'est la goutte d'eau. « On leur donne un penalty ridicule en début de seconde période alors qu’il n’y avait pas de danger », a-t-il pesté.
Le constat est brutal mais lucide. Strasbourg avait le match en main. Contrôle total. Et puis, le trou noir. Dès le début de la seconde période les Alsaciens ont sérieusement baissé d'intensité. Pas de fatigue physique, pas d'usure mentale, juste une naïveté coupable. « On n’a pas su tuer le match quand on le pouvait », regrette le technicien. En Ligue 1, ce genre de laxisme se paie cash. Brest n’en demandait pas tant pour braquer la Meinau.
C’est là que le ton change vraiment. D’habitude protecteur, Rosenior a cette fois-ci mis ses joueurs face à leurs responsabilités. L'âge ? Il ne veut plus en entendre parler. « Ce n’est plus une excuse d’être jeune et de commettre des erreurs week-end après week-end », a-t-il lâché.
Le message est limpide : apprenez plus vite, ou allez voir ailleurs. L'Anglais exige d'« accélérer le processus d’apprentissage ». Traduction pour ceux qui n'ont pas compris ? Certains cadres défaillants ou jeunes trop tendres pourraient bien aller faire un tour sur le banc au prochain match. Rosenior a fini de jouer au grand frère sympa. Il veut des guerriers, pas des éternels espoirs. Le vestiaire est prévenu.
Le RC Strasbourg va devoir réagir, et vite ! Avec 3 revers lors des 4 dernières journées de Ligue 1, le RCSA commence à glisser tout doucement dans le ventre mou du classement, même si la quatrième place n'est qu'à 4 points. Néanmoins, une victoire face à Toulouse, le weekend prochain, est obligatoire pour éviter d'être décroché par des équipes comme Lille, Rennes, Lyon et Monaco.






