La victoire du PSG sur la pelouse du FC Barcelone (1-2) de Hansi Flick a impressionné Daniel Riolo. Le journaliste de RMC Sport n'a pas tari d'éloges sur la performance parisienne dans l'After Foot, saluant la manière dont les hommes de Luis Enrique ont dominé leurs adversaires malgré une hécatombe de blessures.
« Je ne veux pas dire que le Barça a été décevant aujourd'hui... Ils ont subi un pressing qui est monté tout au long de la rencontre, et ils se sont fait manger, ils se sont fait marcher dessus », a déclaré l'éditorialiste de RMC, visiblement conquis par la démonstration parisienne à Montjuïc.
Cette analyse prend une dimension particulière quand on connaît le contexte de cette rencontre. Le PSG s'est présenté en Catalogne privé de Marquinhos, Joao Neves, Khvicha Kvaratskhelia, Ousmane Dembélé et Désiré Doué. Pire encore, Vitinha et Fabian Ruiz, ménagés cette semaine, n'étaient pas à 100% de leurs capacités, le second sortant même sur blessure à la 70e minute.
L'exploit devient encore plus remarquable quand on sait qu'en fin de match, il ne restait que quatre titulaires parisiens sur le terrain. Luis Enrique a dû composer avec une attaque inédite formée par Senny Mayulu, Ibrahim Mbaye et Bradley Barcola, faisant confiance à ses jeunes pousses pour rivaliser avec l'une des meilleures équipes d'Europe.
« Le Barça n'a pas été décevant, ils se sont fait déglinguer, ils se sont fait marcher dessus. Le Barça n'a pas été décevant, ils ont été rendus décevants », a insisté Daniel Riolo, soulignant la domination progressive exercée par les Parisiens au fil des 90 minutes.
Cette performance collective témoigne du travail remarquable de Luis Enrique. L'entraîneur espagnol, réputé pour sa flexibilité tactique, a su transformer les contraintes en atouts. Ses jeunes joueurs comme Senny Mayulu, buteur de l'égalisation, ou Ibrahim Mbaye ont brillé par leur confiance et leur application.
Au-delà des absences, c'est la manière qui impressionne. Le PSG a imposé son style de jeu caractéristique, basé sur un pressing intense et une circulation rapide du ballon. Les Catalans, pourtant réputés pour leur maîtrise technique, ont fini par subir la loi parisienne, particulièrement en seconde période où ils ont été « inexistants » selon Riolo.
Cette victoire de prestige confirme le travail de fond mené par Luis Enrique depuis son arrivée. Sa capacité à faire jouer des remplaçants au niveau d'une grande équipe européenne démontre la profondeur de son projet tactique. Une performance qui place le PSG en excellente position pour une qualification directe en huitième de finale.
Toujours est-il que le pari de Luis Enrique de recruter peu lors du mercato d'été, est pour l'heure payant, même si le technicien espagnol marche sur un fil. De quoi remettre en question de possibles arrivées en janvier ? Tout dépendra de l'évolution des récurrents pépins physiques qui touchent le PSG depuis le début de saison.
En attendant, le directeur sportif Luis Campos garde un oeil sur plusieurs joueurs qui pourraient qualitativement apporter de la profondeur au groupe de Luis Enrique. On pense notamment à Ademola Lookman qui est en froid avec les dirigeants de l'Atalanta Bergame, et qui a pour avantage de pouvoir évoluer à tous les postes de l'attaque. Une polyvalence nécessaire pour intégrer le système Luis Enrique.
« Je ne veux pas dire que le Barça a été décevant aujourd'hui... Ils ont subi un pressing qui est monté tout au long de la rencontre, et ils se sont fait manger, ils se sont fait marcher dessus », a déclaré l'éditorialiste de RMC, visiblement conquis par la démonstration parisienne à Montjuïc.
Cette analyse prend une dimension particulière quand on connaît le contexte de cette rencontre. Le PSG s'est présenté en Catalogne privé de Marquinhos, Joao Neves, Khvicha Kvaratskhelia, Ousmane Dembélé et Désiré Doué. Pire encore, Vitinha et Fabian Ruiz, ménagés cette semaine, n'étaient pas à 100% de leurs capacités, le second sortant même sur blessure à la 70e minute.
L'exploit devient encore plus remarquable quand on sait qu'en fin de match, il ne restait que quatre titulaires parisiens sur le terrain. Luis Enrique a dû composer avec une attaque inédite formée par Senny Mayulu, Ibrahim Mbaye et Bradley Barcola, faisant confiance à ses jeunes pousses pour rivaliser avec l'une des meilleures équipes d'Europe.
« Le Barça n'a pas été décevant, ils se sont fait déglinguer, ils se sont fait marcher dessus. Le Barça n'a pas été décevant, ils ont été rendus décevants », a insisté Daniel Riolo, soulignant la domination progressive exercée par les Parisiens au fil des 90 minutes.
Cette performance collective témoigne du travail remarquable de Luis Enrique. L'entraîneur espagnol, réputé pour sa flexibilité tactique, a su transformer les contraintes en atouts. Ses jeunes joueurs comme Senny Mayulu, buteur de l'égalisation, ou Ibrahim Mbaye ont brillé par leur confiance et leur application.
Au-delà des absences, c'est la manière qui impressionne. Le PSG a imposé son style de jeu caractéristique, basé sur un pressing intense et une circulation rapide du ballon. Les Catalans, pourtant réputés pour leur maîtrise technique, ont fini par subir la loi parisienne, particulièrement en seconde période où ils ont été « inexistants » selon Riolo.
Cette victoire de prestige confirme le travail de fond mené par Luis Enrique depuis son arrivée. Sa capacité à faire jouer des remplaçants au niveau d'une grande équipe européenne démontre la profondeur de son projet tactique. Une performance qui place le PSG en excellente position pour une qualification directe en huitième de finale.
Toujours est-il que le pari de Luis Enrique de recruter peu lors du mercato d'été, est pour l'heure payant, même si le technicien espagnol marche sur un fil. De quoi remettre en question de possibles arrivées en janvier ? Tout dépendra de l'évolution des récurrents pépins physiques qui touchent le PSG depuis le début de saison.
En attendant, le directeur sportif Luis Campos garde un oeil sur plusieurs joueurs qui pourraient qualitativement apporter de la profondeur au groupe de Luis Enrique. On pense notamment à Ademola Lookman qui est en froid avec les dirigeants de l'Atalanta Bergame, et qui a pour avantage de pouvoir évoluer à tous les postes de l'attaque. Une polyvalence nécessaire pour intégrer le système Luis Enrique.