Une priorité mercato en mode feuilleton à plusieurs épisodes du côté du LOSC ? La piste Robin Roefs pourrait bien s'enliser, le prix fixé par NEC Nimègue étant bien au-delà des attentes lilloises pour le portier néerlandais
Alors que Lille s’activait sur le marché pour préparer la succession de Lucas Chevalier – tout proche du PSG –, la cible numéro un des Dogues, Robin Roefs (22 ans, NEC Nimègue), aurait déjà pris un peu de plomb dans l'aile. Selon l'insider Mohamed Toubache-Ter, le club néerlandais réclame 12M€ pour son portier international Espoirs, un montant que le LOSC juge franchement excessif pour un joueur dont la valeur marchande est estimée plus proche des 4M€. Lille, réputé sur le marché pour sa gestion rigoureuse, a fait savoir qu’il n’irait pas au-delà de 8M€, malgré les qualités du joueur et son statut de révélation de l’Eredivisie (10 clean sheets en 33 matches la saison passée).
Ni négociation marathon, ni surenchère côté nordiste : la direction lilloise, bien que séduite par le profil de Roefs, refuse catégoriquement de se plier à la surenchère actuelle. Cette fermeté malgré la concurrence de Premier League, et le reflet de la politique sportive menée par le président Olivier Létang : dénicher le bon coup sans déséquilibrer sa politique salariale ni sa stabilité financière.
Face à ce gros coup de frein, Lille explore désormais d’autres pistes pour renforcer sa cage, refusant de céder à la pression d’un club vendeur conscient de l’urgence lilloise. Le départ programmé de Chevalier oblige en effet le LOSC à rester réactif, mais pas à n’importe quel prix. Cette posture, adoptée sous la houlette d’Olivier Létang, illustre la ligne de conduite d’un club qui a bâti son succès sur le flair et la maîtrise des investissements, préférant attendre qu’une opportunité raisonnable se présente, plutôt que de céder à l’inflation du marché.
Dans ce contexte, l’avenir de Robin Roefs, courtisé mais jugé surcoté, pourrait s’écrire loin des bords de la Deûle, sauf revirement du NEC. Un feuilleton qui ne fait que commencer ?
Alors que Lille s’activait sur le marché pour préparer la succession de Lucas Chevalier – tout proche du PSG –, la cible numéro un des Dogues, Robin Roefs (22 ans, NEC Nimègue), aurait déjà pris un peu de plomb dans l'aile. Selon l'insider Mohamed Toubache-Ter, le club néerlandais réclame 12M€ pour son portier international Espoirs, un montant que le LOSC juge franchement excessif pour un joueur dont la valeur marchande est estimée plus proche des 4M€. Lille, réputé sur le marché pour sa gestion rigoureuse, a fait savoir qu’il n’irait pas au-delà de 8M€, malgré les qualités du joueur et son statut de révélation de l’Eredivisie (10 clean sheets en 33 matches la saison passée).
Ni négociation marathon, ni surenchère côté nordiste : la direction lilloise, bien que séduite par le profil de Roefs, refuse catégoriquement de se plier à la surenchère actuelle. Cette fermeté malgré la concurrence de Premier League, et le reflet de la politique sportive menée par le président Olivier Létang : dénicher le bon coup sans déséquilibrer sa politique salariale ni sa stabilité financière.
Face à ce gros coup de frein, Lille explore désormais d’autres pistes pour renforcer sa cage, refusant de céder à la pression d’un club vendeur conscient de l’urgence lilloise. Le départ programmé de Chevalier oblige en effet le LOSC à rester réactif, mais pas à n’importe quel prix. Cette posture, adoptée sous la houlette d’Olivier Létang, illustre la ligne de conduite d’un club qui a bâti son succès sur le flair et la maîtrise des investissements, préférant attendre qu’une opportunité raisonnable se présente, plutôt que de céder à l’inflation du marché.
Dans ce contexte, l’avenir de Robin Roefs, courtisé mais jugé surcoté, pourrait s’écrire loin des bords de la Deûle, sauf revirement du NEC. Un feuilleton qui ne fait que commencer ?






