Arrivé en fanfares début février, Amar Dedic devait être le piston qui allait dynamiter les couloirs de l’OM. Résultat ? Deux titularisations, quelques entrées fantômes, et un banc chauffé à blanc. L’international bosnien, censé apporter sa polyvalence, s’est surtout illustré par son absence sur la pelouse, barré par Murillo et Garcia, les nouveaux chouchous de De Zerbi.
La clause magique de son contrat – option d’achat à 10 millions si 50% des matchs joués – s’est transformée en malédiction : dès que Dedic a commencé à s'approcher du quota, il a vu son temps de jeu mystérieusement se réduire. Même en étant prêt à entrer contre Lille, il n’a pas eu droit à la moindre minute, histoire de ne pas faire sauter la banque. Un ordre de Pablo Longoria ? Un scénario déjà vu avec Eric Bailly, le roi du placard marseillais.
À Marseille, on va encore réaliser une saison blanche, mais on va faire en sorte d'éviter les dépenses inutiles - Elye Wahi a laissé des traces - Dedic n’a pas convaincu, alors l’OM a sorti la calculatrice : moins de 50% de temps de jeu, clause non activée selon L'Equipe, et retour express à Salzbourg. Un prêt à 1,5 million d’euros pour neuf apparitions sans saveur, c’est cher payé pour un joueur dont la principale action restera… sa discrétion.
La clause magique de son contrat – option d’achat à 10 millions si 50% des matchs joués – s’est transformée en malédiction : dès que Dedic a commencé à s'approcher du quota, il a vu son temps de jeu mystérieusement se réduire. Même en étant prêt à entrer contre Lille, il n’a pas eu droit à la moindre minute, histoire de ne pas faire sauter la banque. Un ordre de Pablo Longoria ? Un scénario déjà vu avec Eric Bailly, le roi du placard marseillais.
À Marseille, on va encore réaliser une saison blanche, mais on va faire en sorte d'éviter les dépenses inutiles - Elye Wahi a laissé des traces - Dedic n’a pas convaincu, alors l’OM a sorti la calculatrice : moins de 50% de temps de jeu, clause non activée selon L'Equipe, et retour express à Salzbourg. Un prêt à 1,5 million d’euros pour neuf apparitions sans saveur, c’est cher payé pour un joueur dont la principale action restera… sa discrétion.