L’aventure d’Houssem Aouar en Arabie Saoudite ne pourrait être qu’une parenthèse. Arrivé à Al-Ittihad avec de grandes ambitions, l’international algérien a rapidement compris que la Saudi Pro League ne lui offrirait pas l’exposition ni le niveau de compétition qu’il recherche pour continuer à progresser. Malgré des statistiques flatteuses (11 buts, 4 passes décisives en 22 matchs), le milieu offensif formé à l'OL ne se sent pas épanoui dans son nouvel environnement.
Aouar, qui rêve de briller avec l’Algérie et de s’imposer comme un cadre chez les Fennecs, sait qu’un retour en Europe est important pour retrouver un rythme de haut niveau et une place de choix en sélection. Son passage express à Djeddah, marqué par la présence de stars mais aussi par une certaine frustration sportive, l’incite à chercher un nouveau défi à la hauteur de ses ambitions.
Aouar, qui rêve de briller avec l’Algérie et de s’imposer comme un cadre chez les Fennecs, sait qu’un retour en Europe est important pour retrouver un rythme de haut niveau et une place de choix en sélection. Son passage express à Djeddah, marqué par la présence de stars mais aussi par une certaine frustration sportive, l’incite à chercher un nouveau défi à la hauteur de ses ambitions.
L’OM, terre d’accueil idéale pour relancer la carrière d’Aouar ?
Dans ce contexte, l’Olympique de Marseille apparaît comme la destination rêvée. C'est du moins ce qu'avance le site AfricaFoot. Le club phocéen, en pleine reconstruction et avide de talents créatifs, a déjà tenté d’attirer Aouar lors du dernier mercato. Son profil de meneur de jeu, capable d’éclairer le jeu et de dynamiser l’attaque, correspond parfaitement aux besoins de l’OM en vue de la saison prochaine et surtout de la Ligue des Champions.
Si Al-Ittihad ne devrait pas se montrer trop gourmand concernant l'indemnité transfert, son salaire en Arabie Saoudite, culminant à plus de 6 millions d'euros par saison, pourrait sérieusement poser problème, alors même que la masse salariale olympienne est déjà conséquente.
Si Al-Ittihad ne devrait pas se montrer trop gourmand concernant l'indemnité transfert, son salaire en Arabie Saoudite, culminant à plus de 6 millions d'euros par saison, pourrait sérieusement poser problème, alors même que la masse salariale olympienne est déjà conséquente.