Il y a des défaites qui font mal, et il y a des attitudes qui ne pardonnent pas. Alors que l'OGC Nice s'enfonce dans une crise sportive inquiétante, incapable de proposer le moindre fond de jeu, une scène surréaliste a fini d'achever la patience du peuple niçois. Le football, c'est avant tout une question de respect. Et ce week-end, le respect est resté au vestiaire.
Le coup de sifflet final venait à peine de retentir au Moustoir que deux mondes s'opposaient. D'un côté, la réalité du terrain : une défaite cuisante face à des Merlus pourtant prenables. De l'autre, la réalité des vestiaires. Selon les images diffusées par Ligue 1+, on a assisté à une séquence lunaire.
Pendant qu'un joueur comme Sofiane Diop, pourtant pas le plus ancien, prenait ses responsabilités pour aller affronter le regard noir du parcage niçois et s'expliquer, Terem Moffi, lui, avait l'esprit ailleurs. L'attaquant nigérian a été surpris dans les couloirs, tout sourire, en pleine rigolade avec son ex-président au FC Lorient, Loïc Fery. Comme l'indique Nice-Matin dans ses colonnes, cette image d'une légèreté déconcertante a été perçue comme une véritable trahison par les Ultras. Comment peut-on rire quand son club coule et que des centaines de supporters ont traversé la France pour vous soutenir ?
Ce rire passe d'autant moins que le crédit de Terem Moffi est épuisé. Arrivé en 2023 avec l'étiquette de la recrue phare pour la coquette somme de 22 millions d'euros (plus bonus), le Nigérian est aujourd'hui l'ombre de lui-même.
D'après les nombreux retours sur Twitter (X), la vague d'indignation est totale. Les supporters ne digèrent plus de voir un joueur, qui émarge à un salaire confortable estimé à 300 000 € par mois, afficher un tel détachement. La fracture est désormais réelle. Comme le rapportent plusieurs sources présentes sur place, le retour de l'équipe sur la Côte d'Azur a été houleux. L'attaquant a été chahuté à l'aéroport et au centre d'entrainement par des fans qui n'acceptent plus ce qu'ils qualifient de "touriste".
À Nice, on pardonne les pieds carrés, mais jamais le manque d'envie. Moffi ferait bien de s'en souvenir, même si le divorce semble acté !
Le coup de sifflet final venait à peine de retentir au Moustoir que deux mondes s'opposaient. D'un côté, la réalité du terrain : une défaite cuisante face à des Merlus pourtant prenables. De l'autre, la réalité des vestiaires. Selon les images diffusées par Ligue 1+, on a assisté à une séquence lunaire.
Pendant qu'un joueur comme Sofiane Diop, pourtant pas le plus ancien, prenait ses responsabilités pour aller affronter le regard noir du parcage niçois et s'expliquer, Terem Moffi, lui, avait l'esprit ailleurs. L'attaquant nigérian a été surpris dans les couloirs, tout sourire, en pleine rigolade avec son ex-président au FC Lorient, Loïc Fery. Comme l'indique Nice-Matin dans ses colonnes, cette image d'une légèreté déconcertante a été perçue comme une véritable trahison par les Ultras. Comment peut-on rire quand son club coule et que des centaines de supporters ont traversé la France pour vous soutenir ?
Ce rire passe d'autant moins que le crédit de Terem Moffi est épuisé. Arrivé en 2023 avec l'étiquette de la recrue phare pour la coquette somme de 22 millions d'euros (plus bonus), le Nigérian est aujourd'hui l'ombre de lui-même.
D'après les nombreux retours sur Twitter (X), la vague d'indignation est totale. Les supporters ne digèrent plus de voir un joueur, qui émarge à un salaire confortable estimé à 300 000 € par mois, afficher un tel détachement. La fracture est désormais réelle. Comme le rapportent plusieurs sources présentes sur place, le retour de l'équipe sur la Côte d'Azur a été houleux. L'attaquant a été chahuté à l'aéroport et au centre d'entrainement par des fans qui n'acceptent plus ce qu'ils qualifient de "touriste".
À Nice, on pardonne les pieds carrés, mais jamais le manque d'envie. Moffi ferait bien de s'en souvenir, même si le divorce semble acté !






