Plus qu'une crise sportive, l'OGC Nice traverse une crise institutionnelle. En grande difficulté à tous les étages, le club azuréen doit composer avec un propriétaire absent, une direction sportive à la rue, des joueurs pas au niveau, et un Franck Haise déjà à bout de souffle.
Le mercato d'hiver va t'il offrir un seconde souffle à un club en crise ? Pas sur. Dans des propos relayés par Nice Matin, Fabrice Bocquet a laissé entendre que cela devrait peu bouger : le mercato hivernal sera aussi sec qu'un été caniculaire ? Sauf départ, pas d'arrivée. C'est du moins ce qu'il a laissé entendre, même si il n'a pas été totalement explicite à ce sujet.
« Pour cet hiver, la taille de l'effectif reste à surveiller. Il ne faudra pas accumuler pour accumuler ». Encore plus explicite : « Franck et Florian échangent en ce moment sur le mercato, la responsabilité première appartient à Flo, le coach valide les profils derrière. Le coach a toujours eu un droit de veto ». Bocquet balaie ainsi toute spéculation sur un recrutement massif. Pas d'ouverture du portefeuille. Ineos ne viendra pas à la rescousse.
Et justement, au rayon des départs plusieurs joueurs sont ciblés, dont Jérémy Boga, Jonathan Clauss, Terem Moffi. Trois cadres. Trois titulaires potentiels. Trois joueurs qui pourraient sauter dans le bateau de sauvetage en janvier.
Boga est sur le départ depuis des mois. L'Ivoirien ne justifie plus son salaire. Clauss, lui, a alterné blessures et performances en dents de scie, et n'a toujours pas digéré son transfert avorté de cet été au Bayer Leverkusen. Moffi ? Son niveau est inquiétant. Le Nigérian qui n'arrive pas à retrouver son meilleur niveau depuis sa grave blessure, est devenu un boulet financier.
Sans départ, il n'y aura donc pas d'arrivées. C'est la nouvelle ligne rouge. Bocquet ne veut pas gonfler un effectif déjà boursouflé de frustrés. Il veut de la marge. Des économies. Des départs pour respirer.
Bocquet attend surtout que Franck Haise et son staff arrivent à trouver la clé pour créer enfin de déclic. « Les joueurs ne sont pas des Kleenex, ils doivent être dans un climat favorable pour donner le meilleur ». Traduction : le vestiaire ne tourne pas rond. Le climat est toxique. Et ça, c'est aussi une responsabilité du staff.
Le mercato d'hiver va t'il offrir un seconde souffle à un club en crise ? Pas sur. Dans des propos relayés par Nice Matin, Fabrice Bocquet a laissé entendre que cela devrait peu bouger : le mercato hivernal sera aussi sec qu'un été caniculaire ? Sauf départ, pas d'arrivée. C'est du moins ce qu'il a laissé entendre, même si il n'a pas été totalement explicite à ce sujet.
« Pour cet hiver, la taille de l'effectif reste à surveiller. Il ne faudra pas accumuler pour accumuler ». Encore plus explicite : « Franck et Florian échangent en ce moment sur le mercato, la responsabilité première appartient à Flo, le coach valide les profils derrière. Le coach a toujours eu un droit de veto ». Bocquet balaie ainsi toute spéculation sur un recrutement massif. Pas d'ouverture du portefeuille. Ineos ne viendra pas à la rescousse.
Et justement, au rayon des départs plusieurs joueurs sont ciblés, dont Jérémy Boga, Jonathan Clauss, Terem Moffi. Trois cadres. Trois titulaires potentiels. Trois joueurs qui pourraient sauter dans le bateau de sauvetage en janvier.
Boga est sur le départ depuis des mois. L'Ivoirien ne justifie plus son salaire. Clauss, lui, a alterné blessures et performances en dents de scie, et n'a toujours pas digéré son transfert avorté de cet été au Bayer Leverkusen. Moffi ? Son niveau est inquiétant. Le Nigérian qui n'arrive pas à retrouver son meilleur niveau depuis sa grave blessure, est devenu un boulet financier.
Sans départ, il n'y aura donc pas d'arrivées. C'est la nouvelle ligne rouge. Bocquet ne veut pas gonfler un effectif déjà boursouflé de frustrés. Il veut de la marge. Des économies. Des départs pour respirer.
Bocquet attend surtout que Franck Haise et son staff arrivent à trouver la clé pour créer enfin de déclic. « Les joueurs ne sont pas des Kleenex, ils doivent être dans un climat favorable pour donner le meilleur ». Traduction : le vestiaire ne tourne pas rond. Le climat est toxique. Et ça, c'est aussi une responsabilité du staff.
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