L'OGC Nice cherche un repreneur, mais le dossier peine à convaincre. Selon les révélations de Romain Molina, Ineos, qui espérait vendre le club azuréen pour 150 millions d'euros, serait désormais contraint de revoir drastiquement ses prétentions. La banque Lazard, mandatée pour trouver un acheteur, n'a toujours pas réussi à conclure l'opération.
La réalité du marché rattrape les ambitions britanniques. Avec la crise des droits TV, un stade qui peine à se remplir et des résultats en demi-teinte, la valeur réelle du Gym serait désormais estimée entre 50 et 60 millions d'euros. Loin, très loin, des 250 millions initialement évoqués au printemps.
D'après Romain Molina, plusieurs acteurs du milieu partagent cette évaluation, tenant compte des pertes financières massives du club. Nice affiche en effet des déficits structurels conséquents depuis plusieurs saisons. L'élimination face à Benfica en préliminaires de Ligue des Champions a aggravé la situation, privant le club de recettes conséquentes.
La question se pose désormais avec acuité. Racheter Nice en 2019 pour 100 millions d'euros, injecter plus de 216 millions en actions, pour finalement vendre à perte ? Le scénario semble improbable, mais la conjoncture ne laisse guère le choix. Jim Ratcliffe a d'ores et déjà fermé les robinets financiers, concentrant ses efforts sur Manchester United.
Le propriétaire britannique se retrouve face à un dilemme : continuer à assumer les pertes annuelles considérables ou accepter une décote massive pour se désengager. Plusieurs dizaines de millions partent en fumée chaque saison, et la situation ne semble pas s'améliorer. Les approches d'investisseurs saoudiens ou anglo-saxons n'ont pour l'instant abouti à aucune offre concrète.
L'affluence à l'Allianz Riviera reste un problème majeur malgré la réduction de la jauge à 27 000 places. Le taux de "no-show" dépassait 30% lors de certaines rencontres, obligeant le club à repenser sa stratégie commerciale. Cette saison, la moyenne de spectateurs s'établit à 21 383, en baisse par rapport aux 24 417 de l'exercice précédent.
Dans ce contexte économique fragilisé par l'effondrement des droits TV domestiques et un projet sportif qui n'a jamais tenu ses promesses, Ineos se retrouve piégé dans un investissement qui se révèle être un véritable gouffre financier. Le Gym attend toujours son sauveur, mais à quel prix ?
La réalité du marché rattrape les ambitions britanniques. Avec la crise des droits TV, un stade qui peine à se remplir et des résultats en demi-teinte, la valeur réelle du Gym serait désormais estimée entre 50 et 60 millions d'euros. Loin, très loin, des 250 millions initialement évoqués au printemps.
D'après Romain Molina, plusieurs acteurs du milieu partagent cette évaluation, tenant compte des pertes financières massives du club. Nice affiche en effet des déficits structurels conséquents depuis plusieurs saisons. L'élimination face à Benfica en préliminaires de Ligue des Champions a aggravé la situation, privant le club de recettes conséquentes.
La question se pose désormais avec acuité. Racheter Nice en 2019 pour 100 millions d'euros, injecter plus de 216 millions en actions, pour finalement vendre à perte ? Le scénario semble improbable, mais la conjoncture ne laisse guère le choix. Jim Ratcliffe a d'ores et déjà fermé les robinets financiers, concentrant ses efforts sur Manchester United.
Le propriétaire britannique se retrouve face à un dilemme : continuer à assumer les pertes annuelles considérables ou accepter une décote massive pour se désengager. Plusieurs dizaines de millions partent en fumée chaque saison, et la situation ne semble pas s'améliorer. Les approches d'investisseurs saoudiens ou anglo-saxons n'ont pour l'instant abouti à aucune offre concrète.
L'affluence à l'Allianz Riviera reste un problème majeur malgré la réduction de la jauge à 27 000 places. Le taux de "no-show" dépassait 30% lors de certaines rencontres, obligeant le club à repenser sa stratégie commerciale. Cette saison, la moyenne de spectateurs s'établit à 21 383, en baisse par rapport aux 24 417 de l'exercice précédent.
Dans ce contexte économique fragilisé par l'effondrement des droits TV domestiques et un projet sportif qui n'a jamais tenu ses promesses, Ineos se retrouve piégé dans un investissement qui se révèle être un véritable gouffre financier. Le Gym attend toujours son sauveur, mais à quel prix ?