Paulo Fonseca entre dans l'histoire de l'Olympique Lyonnais par la grande porte. Arrivé en début d'année 2025 dans un contexte chaotique, le Portugais affiche désormais le meilleur ratio de victoires de tous les entraîneurs qui ont dirigé le club rhodanien. Une statistique impressionnante qui en dit long sur son impact.
Avec 20 victoires en 31 matchs toutes compétitions confondues, Paulo Fonseca affiche un taux de réussite de 64,5%. Un pourcentage légèrement supérieur à celui de Gérard Houllier (63,9%), la légende lyonnaise des années 2000. L'ancien coach de l'AC Milan devance également Alain Perrin (63,6%), autre figure du club.
Dimanche soir, la victoire arrachée dans les dernières secondes contre Strasbourg (2-1) grâce à une frappe somptueuse d'Afonso Moreira a permis à l'OL de grimper à la quatrième place du championnat avec 18 points. Une position inespérée au regard de l'été très compliqué vécu par le club rhodanien, même si la sortie sur blessure de Malick Fofana est le gros point noir de cette soirée.
« Paulo Fonseca est très très fort tactiquement. Il a une approche différente à chaque match, c'est ce que j'aime avec lui », confiait Corentin Tolisso à SoFoot. Un éloge qui résume le sentiment du vestiaire envers son entraîneur.
L'effectif lyonnais n'a pourtant plus grand-chose à voir avec celui de la saison dernière. Privé de Rayan Cherki, Alexandre Lacazette, Georges Mikautadze et Thiago Almada, tous partis lors du mercato estival, Fonseca a dû reconstruire sans ses meilleurs atouts offensifs.
« Avant il y avait Cherki et Lacazette qui pouvaient marquer seuls. Aujourd'hui, nous créons beaucoup, mais nous n'avons pas vraiment la qualité individuelle de l'an dernier », admettait-il après la victoire contre Bâle.
Fonseca détient également un autre record étonnant. Selon LyonFoot, il n'a toujours jamais concédé le moindre match nul en Ligue 1 avec l'OL après 22 rencontres (14 victoires, 8 défaites). Aucun entraîneur de l'élite n'avait réalisé pareille performance depuis César Gonzalez avec Nice lors de la saison 1965-1966. Perdre ou gagner, telle est sa devise.
Paulo Fonseca devant Gérard Houllier dans les livres d'histoire de l'OL. Voilà une phrase que personne n'aurait imaginée en janvier dernier. Et pourtant.
Avec 20 victoires en 31 matchs toutes compétitions confondues, Paulo Fonseca affiche un taux de réussite de 64,5%. Un pourcentage légèrement supérieur à celui de Gérard Houllier (63,9%), la légende lyonnaise des années 2000. L'ancien coach de l'AC Milan devance également Alain Perrin (63,6%), autre figure du club.
Dimanche soir, la victoire arrachée dans les dernières secondes contre Strasbourg (2-1) grâce à une frappe somptueuse d'Afonso Moreira a permis à l'OL de grimper à la quatrième place du championnat avec 18 points. Une position inespérée au regard de l'été très compliqué vécu par le club rhodanien, même si la sortie sur blessure de Malick Fofana est le gros point noir de cette soirée.
« Paulo Fonseca est très très fort tactiquement. Il a une approche différente à chaque match, c'est ce que j'aime avec lui », confiait Corentin Tolisso à SoFoot. Un éloge qui résume le sentiment du vestiaire envers son entraîneur.
L'effectif lyonnais n'a pourtant plus grand-chose à voir avec celui de la saison dernière. Privé de Rayan Cherki, Alexandre Lacazette, Georges Mikautadze et Thiago Almada, tous partis lors du mercato estival, Fonseca a dû reconstruire sans ses meilleurs atouts offensifs.
« Avant il y avait Cherki et Lacazette qui pouvaient marquer seuls. Aujourd'hui, nous créons beaucoup, mais nous n'avons pas vraiment la qualité individuelle de l'an dernier », admettait-il après la victoire contre Bâle.
Fonseca détient également un autre record étonnant. Selon LyonFoot, il n'a toujours jamais concédé le moindre match nul en Ligue 1 avec l'OL après 22 rencontres (14 victoires, 8 défaites). Aucun entraîneur de l'élite n'avait réalisé pareille performance depuis César Gonzalez avec Nice lors de la saison 1965-1966. Perdre ou gagner, telle est sa devise.
Paulo Fonseca devant Gérard Houllier dans les livres d'histoire de l'OL. Voilà une phrase que personne n'aurait imaginée en janvier dernier. Et pourtant.






