Amine Gouiri sur civière, encore. Mardi soir contre l'Ouganda, l'attaquant marseillais a quitté le terrain dans la douleur après un choc ultra-violent avec le gardien Omar Magoola. L'épaule droite s'est déboîtée, comme déjà face à Lorient le 12 septembre. Deux luxations en un mois, même endroit. L'OM s'inquiète.
Selon RMC Sport, le club veut comprendre. Les examens médicaux prévus ce jeudi visent à déterminer la nature exacte de ces deux pépins consécutifs. Question centrale : s'agit-il simplement de la violence rare des deux chocs subis, ou Gouiri traîne-t-il une réelle fragilité à l'épaule ?
La nuance est capitale. Si l'articulation présente des séquelles ou une instabilité structurelle, alors beaucoup de prudence s'imposera. Voire une éventuelle opération, comme l'évoquent plusieurs sources. Les cas Youcef Atal et Ruben Aguilar, qui ont longtemps joué avec une épaule fragile avant de passer sur le billard, font office d'épouvantail.
Les premiers examens ont rassuré sur le plan neurologique : pas de commotion cérébrale. Mais l'épaule droite, déjà fragilisée en septembre, inquiète davantage. Gouiri portait une attelle protectrice depuis plusieurs semaines et continuait d'aller au contact sans retenue. Jusqu'à ce nouveau choc face à Magoola.
Le forfait pour OM-Le Havre samedi n'est pas officiellement acté, mais difficile de croire qu'il puisse être aligné par Roberto De Zerbi. D'autant que le calendrier s'annonce infernal entre Ligue 1 et Ligue des Champions. Une intervention chirurgicale pourrait être programmée à moyen terme pour éviter les récidives à répétition. En attendant, le staff marseillais se prépare à gérer le dossier comme de la nitroglycérine.
Pour Gouiri, l'équation est compliquée : jouer avec la douleur comme Bellingham l'an passé au Real, ou se faire opérer et potentiellement louper la CAN 2025. Le dilemme n'est pas tranché.
Selon RMC Sport, le club veut comprendre. Les examens médicaux prévus ce jeudi visent à déterminer la nature exacte de ces deux pépins consécutifs. Question centrale : s'agit-il simplement de la violence rare des deux chocs subis, ou Gouiri traîne-t-il une réelle fragilité à l'épaule ?
La nuance est capitale. Si l'articulation présente des séquelles ou une instabilité structurelle, alors beaucoup de prudence s'imposera. Voire une éventuelle opération, comme l'évoquent plusieurs sources. Les cas Youcef Atal et Ruben Aguilar, qui ont longtemps joué avec une épaule fragile avant de passer sur le billard, font office d'épouvantail.
Les premiers examens ont rassuré sur le plan neurologique : pas de commotion cérébrale. Mais l'épaule droite, déjà fragilisée en septembre, inquiète davantage. Gouiri portait une attelle protectrice depuis plusieurs semaines et continuait d'aller au contact sans retenue. Jusqu'à ce nouveau choc face à Magoola.
Le forfait pour OM-Le Havre samedi n'est pas officiellement acté, mais difficile de croire qu'il puisse être aligné par Roberto De Zerbi. D'autant que le calendrier s'annonce infernal entre Ligue 1 et Ligue des Champions. Une intervention chirurgicale pourrait être programmée à moyen terme pour éviter les récidives à répétition. En attendant, le staff marseillais se prépare à gérer le dossier comme de la nitroglycérine.
Pour Gouiri, l'équation est compliquée : jouer avec la douleur comme Bellingham l'an passé au Real, ou se faire opérer et potentiellement louper la CAN 2025. Le dilemme n'est pas tranché.
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