La défaite de l'OM face au Sporting Lisbonne (2-1) mardi soir a laissé un goût amer. Réduit à dix après l'expulsion d'Emerson juste avant la pause alors qu'il menait au score, l'Olympique de Marseille a vu ses espoirs s'envoler. Au retour des vestiaires, Roberto De Zerbi a opéré des changements forts qui ont surpris. Mason Greenwood sorti, Igor Paixao maintenu. Une décision tactique que le technicien italien a tenu à expliciter au micro de Canal+.
Face à l'infériorité numérique, Roberto De Zerbi ne voulait pas dévier de sa philosophie. « Avec le rouge d'Emerson, nous devions défendre à 5 », a rappelé l'entraîneur marseillais au micro de Canal+. Le dilemme était simple : qui garder entre le Brésilien et l'Anglais ?
« Entre Greenwood et Paixao, celui qui avait les meilleures caractéristiques pour défendre et attaquer, c'était Paixao », a tranché De Zerbi. Une analyse froide, basée sur un précédent qui a pesé dans la balance.
L'Italien a évoqué un souvenir précis de la saison dernière. « Contre l'OL l'année dernière, lorsque nous étions à 10, Greenwood avait eu beaucoup de mal en tant qu'avant-centre », a-t-il rappelé. À dix contre onze, impossible de se permettre un joueur ne faisant pas les efforts défensifs. Paixao, auteur d'un but magnifique en première période d'une frappe enroulée dans la lucarne, offrait davantage de garanties sur le plan athlétique.
Mais Mason Greenwood n'a pas été le seul à faire les frais de cette réorganisation tactique. Arthur Vermeeren, pourtant performant avant la pause, a également été remplacé par Matt O'Riley. « Même Vermeeren, qui avait bien joué en première mi-temps, j'ai dû le remplacer pour mettre un peu plus de poids », a justifié De Zerbi.
Un choix difficile mais assumé par le coach transalpin. En infériorité, il fallait densifier l'entrejeu et apporter plus de présence physique pour contrer les assauts portugais. O'Riley devait incarner cette solidité supplémentaire. Amir Murillo a également été lancé pour renforcer le flanc gauche laissé vacant par Emerson.
Malgré cette réorganisation, l'OM n'a pas tenu. Le Sporting a égalisé puis pris l'avantage en fin de match. Les choix de De Zerbi ont été contestés, notamment par Samir Nasri sur Canal+ qui a déploré le manque d'audace et de poids offensif. Reste que le technicien italien a privilégié la cohérence tactique à l'improvisation. Une défaite amère ...
Face à l'infériorité numérique, Roberto De Zerbi ne voulait pas dévier de sa philosophie. « Avec le rouge d'Emerson, nous devions défendre à 5 », a rappelé l'entraîneur marseillais au micro de Canal+. Le dilemme était simple : qui garder entre le Brésilien et l'Anglais ?
« Entre Greenwood et Paixao, celui qui avait les meilleures caractéristiques pour défendre et attaquer, c'était Paixao », a tranché De Zerbi. Une analyse froide, basée sur un précédent qui a pesé dans la balance.
L'Italien a évoqué un souvenir précis de la saison dernière. « Contre l'OL l'année dernière, lorsque nous étions à 10, Greenwood avait eu beaucoup de mal en tant qu'avant-centre », a-t-il rappelé. À dix contre onze, impossible de se permettre un joueur ne faisant pas les efforts défensifs. Paixao, auteur d'un but magnifique en première période d'une frappe enroulée dans la lucarne, offrait davantage de garanties sur le plan athlétique.
Mais Mason Greenwood n'a pas été le seul à faire les frais de cette réorganisation tactique. Arthur Vermeeren, pourtant performant avant la pause, a également été remplacé par Matt O'Riley. « Même Vermeeren, qui avait bien joué en première mi-temps, j'ai dû le remplacer pour mettre un peu plus de poids », a justifié De Zerbi.
Un choix difficile mais assumé par le coach transalpin. En infériorité, il fallait densifier l'entrejeu et apporter plus de présence physique pour contrer les assauts portugais. O'Riley devait incarner cette solidité supplémentaire. Amir Murillo a également été lancé pour renforcer le flanc gauche laissé vacant par Emerson.
Malgré cette réorganisation, l'OM n'a pas tenu. Le Sporting a égalisé puis pris l'avantage en fin de match. Les choix de De Zerbi ont été contestés, notamment par Samir Nasri sur Canal+ qui a déploré le manque d'audace et de poids offensif. Reste que le technicien italien a privilégié la cohérence tactique à l'improvisation. Une défaite amère ...