PSG - Paris SG
L'Olympique de Marseille qui réalise un bon début de saison, reste néanmoins sur un nul face à Angers et surtout sur une défaite à domicile face au RC Lens (2-3). Un petit coup d'arrêt pour l'OM qui a montré des signes de fébrilité contre les Sang et Or.
Moins costaud défensivement, Marseille a également été très brouillon dans la construction avec beaucoup de déchets dans le jeu. Chose qui a provoqué des tensions palpables sur le terrain. Ce qui en soi est normal, mais que Jorge Sampaoli va devoir maitriser totu cela sous peine de voir l'ambiance du vestiaire se dégrader.
Moins costaud défensivement, Marseille a également été très brouillon dans la construction avec beaucoup de déchets dans le jeu. Chose qui a provoqué des tensions palpables sur le terrain. Ce qui en soi est normal, mais que Jorge Sampaoli va devoir maitriser totu cela sous peine de voir l'ambiance du vestiaire se dégrader.
La concurrence Steve Mandanda - Pau Lopez pourrait rapidement polluer le vestiaire de l'OM
Journaliste pour RMC, Florent Germain qui est très au fait de l'actualité de l'Olympique de Marseille, a tenu à mettre en garde Jorge Sampaoli sur les choses qui pourraient rapidement polluer l'atmosphère du vestiaire marseillais, et a notamment ciblé la concurrence jugée peu saine entre Steve Mandanda et Pau Lopez.
" Ce qui est à travailler, et on en a conscience dans le vestiaire, c’est qu’il y a eu des signes de nervosité face à Lens sur une grosse partie de la fin de match et je ne parle pas du petit coup de chaud entre Guendouzi et Gerson. On sentait des joueurs qui étaient un peu perdus ou un peu fatigués, agacés. Il y avait de la nervosité mais il ne faut pas qu’il y ait certaines choses qui polluent le vestiaire. La concurrence de gardiens peut en être une ", a t'il déclaré dans l'After Foot.
" Ce qui est à travailler, et on en a conscience dans le vestiaire, c’est qu’il y a eu des signes de nervosité face à Lens sur une grosse partie de la fin de match et je ne parle pas du petit coup de chaud entre Guendouzi et Gerson. On sentait des joueurs qui étaient un peu perdus ou un peu fatigués, agacés. Il y avait de la nervosité mais il ne faut pas qu’il y ait certaines choses qui polluent le vestiaire. La concurrence de gardiens peut en être une ", a t'il déclaré dans l'After Foot.
