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Olivier Létang (LOSC) a franchi la ligne rouge, l'UEFA pourrait frapper fort !


Vendredi 24 Octobre 2025 17:35 - écrit par



Olivier Létang qui est déjà pointé du doigt en Ligue 1, ne s'est pas fait que des amis en Europe. Sa sortie fracassante contre l'arbitrage lors de la défaite du LOSC face au PAOK (3-4) ce jeudi en Ligue Europa a provoqué des remous au sommet de l'UEFA. Le président lillois, qui a directement invoqué le nom d'Aleksander Ceferin dans les couloirs du stade, a franchi une ligne rouge selon plusieurs sources proches de l'instance européenne.​

À la mi-temps de cette rencontre de Ligue Europa, alors que Lille était mené 3-0, Létang a perdu son sang-froid. Il a en effet interpellé l'arbitre monténégrin Nikola Dabanovic en affirmant : « J'ai déjà écrit à Monsieur Ceferin. Ce qu'il s'est passé ce soir est incroyable ».​

Une déclaration qui visait à faire pression sur le corps arbitral après un penalty non sifflé sur une faute sur Mathias Fernandez-Pardo malgré l'intervention de la VAR. Mais cette stratégie de communication n'a visiblement pas plu en haut lieu.​

Selon L'Equipe, « l'UEFA n'a guère apprécié » cette sortie publique. Brandir le nom du président de l'instance dans un moment de tension est perçu comme une tentative d'instrumentalisation qui ne correspond pas aux codes attendus des dirigeants de clubs européens.​

Cette nouvelle polémique intervient quelques jours seulement après sa suspension d'un match ferme par la LFP pour des propos similaires contre l'arbitrage français. Déjà sanctionné pour avoir qualifié l'arbitrage de « parodie » et « d'escroquerie » après LOSC-OL, le président nordiste semble incapable de contenir ses frustrations.​

Mais alors qu'il a échappé à une sanction de l'UEFA en mars 2025 après ses propos contre un « arbitrage Suisse-Allemand » lors d'un match contre Dortmund, cette fois-ci, la sortie médiatique pourrait avoir des conséquences. L'instance européenne, soucieuse de préserver l'intégrité de ses compétitions, pourrait décider de taper du poing sur la table face à un président devenu coutumier du fait.​


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