Le Paris Saint-Germain a vu rouge ce vendredi soir après la blessure d'Ousmane Dembélé lors de la victoire de l'équipe de France face à l'Ukraine (2-0). Le club parisien avait pourtant prévenu le staff médical des Bleus qu'il ne fallait pas faire jouer l'attaquant.
L'international français du PSG, entré à la pause pour remplacer Désiré Doué également touché, a dû céder sa place à la 81e minute en se tenant la cuisse droite. Une nouvelle blessure qui intervient seulement six jours après sa sortie sur blessure contre Toulouse, où il avait ressenti une gêne aux ischio-jambiers de la jambe gauche.
"C'est complètement fou de l'avoir fait jouer", glisse-t-on dans les couloirs du PSG. Selon Le Parisien, le club de la capitale et notamment Nasser al-Khelaïfi est "furieux" et dénonce une gestion "irrespectueuse" de la part du staff tricolore.
Didier Deschamps a justifié son choix en conférence de presse : "Si c'était sur qu'il pouvait jouer ? Ah ba oui, sinon je ne le fais pas rentrer ! En plus c'est l'autre cuisse". Le sélectionneur assure s'être basé sur les retours positifs du joueur et du personnel médical, affirmant qu'il "n'y avait pas la moindre appréhension".
Mais la défense du patron des Bleus peine à convaincre. Paris estimait qu'"étant donné l'état de fatigue du joueur", il y avait "un haut risque de blessure". Le favori du Ballon d'Or 2025 n'avait d'ailleurs participé qu'à un seul entraînement collectif cette semaine.
Ousmane Dembélé va subir des examens ce week-end pour déterminer la gravité de sa blessure à la cuisse droite. Le sélectionneur a déjà laissé entendre que l'attaquant "ne resterait sans doute pas" pour le match contre l'Islande.
Cette nouvelle tuile intervient à un moment important pour le PSG, qui reçoit Lens samedi prochain avant d'entamer sa campagne de Ligue des champions contre l'Atalanta. Luis Enrique devra composer sans son ailier vedette, déjà privé de football pendant plusieurs semaines l'an dernier à cause de blessures similaires aux ischios.
L'international français du PSG, entré à la pause pour remplacer Désiré Doué également touché, a dû céder sa place à la 81e minute en se tenant la cuisse droite. Une nouvelle blessure qui intervient seulement six jours après sa sortie sur blessure contre Toulouse, où il avait ressenti une gêne aux ischio-jambiers de la jambe gauche.
"C'est complètement fou de l'avoir fait jouer", glisse-t-on dans les couloirs du PSG. Selon Le Parisien, le club de la capitale et notamment Nasser al-Khelaïfi est "furieux" et dénonce une gestion "irrespectueuse" de la part du staff tricolore.
Didier Deschamps a justifié son choix en conférence de presse : "Si c'était sur qu'il pouvait jouer ? Ah ba oui, sinon je ne le fais pas rentrer ! En plus c'est l'autre cuisse". Le sélectionneur assure s'être basé sur les retours positifs du joueur et du personnel médical, affirmant qu'il "n'y avait pas la moindre appréhension".
Mais la défense du patron des Bleus peine à convaincre. Paris estimait qu'"étant donné l'état de fatigue du joueur", il y avait "un haut risque de blessure". Le favori du Ballon d'Or 2025 n'avait d'ailleurs participé qu'à un seul entraînement collectif cette semaine.
Ousmane Dembélé va subir des examens ce week-end pour déterminer la gravité de sa blessure à la cuisse droite. Le sélectionneur a déjà laissé entendre que l'attaquant "ne resterait sans doute pas" pour le match contre l'Islande.
Cette nouvelle tuile intervient à un moment important pour le PSG, qui reçoit Lens samedi prochain avant d'entamer sa campagne de Ligue des champions contre l'Atalanta. Luis Enrique devra composer sans son ailier vedette, déjà privé de football pendant plusieurs semaines l'an dernier à cause de blessures similaires aux ischios.