Le PSG vient de s'offrir un renfort de "poids". Sans débourser le moindre euro. Luis Enrique jubile. Et il n'hésite pas à chambrer tout le monde.
Mercredi soir, le Parc des Princes a vibré. 5-3 face à Tottenham. Un festival offensif. Mais au-delà du triplé de Vitinha, c'est une autre histoire qui s'est écrite. Luis Enrique a osé. Il a lancé Quentin Ndjantou, 18 ans, d'entrée de jeu. En pointe. En Ligue des Champions.
Première titularisation dans la plus grande compétition européenne. Pas en Coupe de France. Pas contre une équipe de seconde zone. Non. Face aux Spurs, dans un match à huit buts.
Le Titi n'a pas tremblé. Passe décisive sur le premier but de Vitinha. Présence constante. Déplacements justes. Personnalité affirmée.
À la fin du match, le jeune attaquant a livré sa réaction au micro de Canal+ : « Non, je n'étais pas surpris, j'avais hâte de commencer ce match. Ça montre que le coach voit mes efforts à l'entraînement. »
Pas la peine de préciser que Luis Enrique était un brin taquin lors de la conférence de presse d'après-match. Le coach du PSG, fidèle à lui-même, a décidé de chambrer les journalistes, en raison notamment des nombreuses rumeurs mercato qui pullulent autour du Paris Saint-Germain.
Le technicien espagnol s'est en effet enflammé pour son jeune et polyvalent attaquant : « Il a été sensationnel, il a la capacité de jouer partout, au milieu, en attaque. Il a montré de la personnalité, j'aime sa manière de jouer, je suis très content. »
Puis, le missile : « C'est une vraie recrue, on n'est pas allé sur le mercato pour recruter Ndjantou. C'est la première recrue, on est en avance sur toutes les autres équipes. Vous êtes contents ? »
Le message est limpide. Pendant que d'autres clubs dépensent des fortunes, le PSG fait émerger ses pépites. Ndjantou, né à Arpajon, formé à Paris depuis ses 13 ans, vaut désormais de l'or.
Champion de France U19. Triplé en Youth League face à l'Atalanta en septembre. Et maintenant, décisif en C1 face à Tottenham. Luis Enrique l'avait annoncé début novembre : « Je suis excité d'avoir un joueur comme lui dans l'équipe. » Désormais, tout le monde comprend pourquoi.
Mercredi soir, le Parc des Princes a vibré. 5-3 face à Tottenham. Un festival offensif. Mais au-delà du triplé de Vitinha, c'est une autre histoire qui s'est écrite. Luis Enrique a osé. Il a lancé Quentin Ndjantou, 18 ans, d'entrée de jeu. En pointe. En Ligue des Champions.
Première titularisation dans la plus grande compétition européenne. Pas en Coupe de France. Pas contre une équipe de seconde zone. Non. Face aux Spurs, dans un match à huit buts.
Le Titi n'a pas tremblé. Passe décisive sur le premier but de Vitinha. Présence constante. Déplacements justes. Personnalité affirmée.
À la fin du match, le jeune attaquant a livré sa réaction au micro de Canal+ : « Non, je n'étais pas surpris, j'avais hâte de commencer ce match. Ça montre que le coach voit mes efforts à l'entraînement. »
Pas la peine de préciser que Luis Enrique était un brin taquin lors de la conférence de presse d'après-match. Le coach du PSG, fidèle à lui-même, a décidé de chambrer les journalistes, en raison notamment des nombreuses rumeurs mercato qui pullulent autour du Paris Saint-Germain.
Le technicien espagnol s'est en effet enflammé pour son jeune et polyvalent attaquant : « Il a été sensationnel, il a la capacité de jouer partout, au milieu, en attaque. Il a montré de la personnalité, j'aime sa manière de jouer, je suis très content. »
Puis, le missile : « C'est une vraie recrue, on n'est pas allé sur le mercato pour recruter Ndjantou. C'est la première recrue, on est en avance sur toutes les autres équipes. Vous êtes contents ? »
Le message est limpide. Pendant que d'autres clubs dépensent des fortunes, le PSG fait émerger ses pépites. Ndjantou, né à Arpajon, formé à Paris depuis ses 13 ans, vaut désormais de l'or.
Champion de France U19. Triplé en Youth League face à l'Atalanta en septembre. Et maintenant, décisif en C1 face à Tottenham. Luis Enrique l'avait annoncé début novembre : « Je suis excité d'avoir un joueur comme lui dans l'équipe. » Désormais, tout le monde comprend pourquoi.






