C’est un constat qui fait mal sur la Côte d’Azur, mais qui régale Bollaert. Alors que le RC Lens trône en leader de Ligue 1, l’OGC Nice sombre dans la crise. Au cœur des débats : le duel à distance entre le nouveau maître du jeu lensois, Pierre Sage, et celui qui a permis au RCL de retrouver son rang, Franck Haise.
Le passage de témoin est brutal. Là où certains attendaient une transition difficile après une saison dernière très mitigée sous les ordres de Will Still, et la perte de nombreux cadres, Lens rayonne. Pourquoi ? Selon Régis Brouard, la différence se joue sur l’approche fondamentale du métier. « Dans leur management ils sont différents. Haise est davantage tourné vers l'humain, Sage vers le jeu », analyse le consultant dans L'Equipe du Soir.
Cette déclaration n'est pas anodine. Elle confirme une tendance observée par les suiveurs de la Ligue 1 : Pierre Sage s'impose comme un tacticien pur, capable de maximiser un effectif là où le "management affectif" montre ses limites sur la durée. Brouard n'est d'ailleurs pas le seul à le penser. Comme l’indiquent de nombreux observateurs, la palette tactique de Sage semble aujourd'hui plus riche et adaptative que celle de l'ancien manager général lensois. La question brûlante reste posée : Haise aurait-il tiré la quintessence de cet effectif lensois version 2025 ? Rien n’est moins sûr.
Pendant que dans l'Artois on exulte, sur la Côte d'Azur on fait grise mine. La défaite cuisante ce dimanche face au FC Lorient a un peu plus enfoncé le Gym dans une très grosse crise sportive. Si l’investissement de certains cadres niçois est pointé du doigt, l’immunité de Franck Haise semble levée.
L'incapacité du coach niçois à se remettre en question commence à agacer en interne. Rigidité tactique, changements illisibles : la "magie Haise" semble s'être dissipée. En refusant de faire évoluer son logiciel face aux blocs bas comme celui des Merlus, Haise s’enferme dans ses certitudes. Pierre Sage, lui, continue d’avancer. Et de gagner.
En attendant, les deux coachs s'affronteront pour la dernière journée de Ligue 1 de l'année 2025. A moins que Franck Haise ne soit plus sur le banc ...
Le passage de témoin est brutal. Là où certains attendaient une transition difficile après une saison dernière très mitigée sous les ordres de Will Still, et la perte de nombreux cadres, Lens rayonne. Pourquoi ? Selon Régis Brouard, la différence se joue sur l’approche fondamentale du métier. « Dans leur management ils sont différents. Haise est davantage tourné vers l'humain, Sage vers le jeu », analyse le consultant dans L'Equipe du Soir.
Cette déclaration n'est pas anodine. Elle confirme une tendance observée par les suiveurs de la Ligue 1 : Pierre Sage s'impose comme un tacticien pur, capable de maximiser un effectif là où le "management affectif" montre ses limites sur la durée. Brouard n'est d'ailleurs pas le seul à le penser. Comme l’indiquent de nombreux observateurs, la palette tactique de Sage semble aujourd'hui plus riche et adaptative que celle de l'ancien manager général lensois. La question brûlante reste posée : Haise aurait-il tiré la quintessence de cet effectif lensois version 2025 ? Rien n’est moins sûr.
Pendant que dans l'Artois on exulte, sur la Côte d'Azur on fait grise mine. La défaite cuisante ce dimanche face au FC Lorient a un peu plus enfoncé le Gym dans une très grosse crise sportive. Si l’investissement de certains cadres niçois est pointé du doigt, l’immunité de Franck Haise semble levée.
L'incapacité du coach niçois à se remettre en question commence à agacer en interne. Rigidité tactique, changements illisibles : la "magie Haise" semble s'être dissipée. En refusant de faire évoluer son logiciel face aux blocs bas comme celui des Merlus, Haise s’enferme dans ses certitudes. Pierre Sage, lui, continue d’avancer. Et de gagner.
En attendant, les deux coachs s'affronteront pour la dernière journée de Ligue 1 de l'année 2025. A moins que Franck Haise ne soit plus sur le banc ...
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