On en parle peu, mais Olivier Echouafni réalise du bon boulot à Quevilly Rouen Métropole. Nommé entraîneur de QRM en juin dernier, Echouafni avait pour mission de maintenir le club normand en . Chose quasiment faite. 8e du championnat, QRM va devoir encore engranger 4 ou 5 points pour assurer définitivement son maintien en L2. A 10 journées de la fin et au regard de la dynamique très négative des 4 derniers, l'objectif devrait donc être atteint. Et pourtant les conditions sont loin d'être optimales pour la formation normande.
Conditions d'entraînement compliquées
Dans un entretien accordé à L'Equipe, Olivier Echouafni a pointé du doigt les piètres conditions d'entraînement et l'état de la pelouse du stade Robert-Diochon partagé entre plusieurs entités.
" Elles sont difficiles, c’est vrai. Quand je suis arrivé, l’idée était de les améliorer pour tout le monde, de l’intendant jusqu’au groupe pro. On est toujours dans une forme d’adaptation, y compris par rapport aux conditions du terrain. On s’entraîne sur un terrain situé à côté de l’honneur qui n’est pas réglementaire. Trois entités évoluent sur le terrain principal sur lequel on ne peut jamais s’entraîner : le FC Rouen (en N2) et le rugby (Rouen Normandie), en Pro D2. Il nous arrive régulièrement de jouer après le rugby. Ce fut le cas contre Metz (1-2, le 18 mars). La veille, il y avait un match contre Aix-en-Provence. Il est difficile, du coup, de produire du jeu quand vous passez derrière un match de rugby. Un club de L1 ou L2 a en gros 24 ou 25 matches sur son terrain dans l’année. Nous, 65. ", a t'il confié.
" Elles sont difficiles, c’est vrai. Quand je suis arrivé, l’idée était de les améliorer pour tout le monde, de l’intendant jusqu’au groupe pro. On est toujours dans une forme d’adaptation, y compris par rapport aux conditions du terrain. On s’entraîne sur un terrain situé à côté de l’honneur qui n’est pas réglementaire. Trois entités évoluent sur le terrain principal sur lequel on ne peut jamais s’entraîner : le FC Rouen (en N2) et le rugby (Rouen Normandie), en Pro D2. Il nous arrive régulièrement de jouer après le rugby. Ce fut le cas contre Metz (1-2, le 18 mars). La veille, il y avait un match contre Aix-en-Provence. Il est difficile, du coup, de produire du jeu quand vous passez derrière un match de rugby. Un club de L1 ou L2 a en gros 24 ou 25 matches sur son terrain dans l’année. Nous, 65. ", a t'il confié.