Le RC Lens a fait le job, mais sans briller. Si les Sang et Or ont validé leur billet pour les 16es de finale de la Coupe de France en disposant logiquement de l'Entente Feignies-Aulnoye sur le score de 3 à 1, la prestation livrée par les hommes de Pierre Sage fut globalement très moyenne.
Pour ce 32e de finale, le technicien lensois avait pourtant décidé de largement remanier son onze de départ. Comme l'illustre la feuille de match, pas moins de huit habituels remplaçants étaient alignés au coup d'envoi, une occasion en or pour eux de bousculer la hiérarchie. Malheureusement, la réponse sur le terrain a été loin des attentes. Les offensifs Abdallah Sima et Morgan Guilavogui ont traversé la rencontre dans un quasi-anonymat, peinant à se créer des situations franches face à une défense de National 2 pourtant à leur portée. Plus inquiétant encore, Florian Sotoca, repositionné dans l'entrejeu pour apporter son volume de jeu, a affiché des limites criantes. L'ancien taulier semble accuser le coup physiquement, confirmant l'impression d'un gros déclin amorcé depuis plusieurs mois.
Au-delà de la performance collective poussive, tous les regards étaient braqués sur le flanc gauche de la défense. Suite au départ acté de Deiver Machado vers le FC Nantes, Pierre Sage espérait trouver une solution interne en la personne d'Anthony Bermont.
Le jeune espoir, aligné comme piston gauche pour suppléer Matthieu Udol, passait un véritable crash-test. Le verdict est malheureusement sans appel : Bermont n'a jamais semblé à l'aise dans ce rôle hybride exigeant, manquant d'impact offensif et de rigueur dans le repli. Une prestation loupée qui envoie un signal fort à la direction sportive. Comme le suggère ce match, le bricolage ne suffira pas pour la deuxième partie de saison. Pierre Sage se voit donc conforté dans son analyse initiale : le recrutement d'un spécialiste au poste de piston gauche devient une nécessité lors du mercato hivernal pour compenser la perte de Machado et maintenir les ambitions artésiennes.
Pour ce 32e de finale, le technicien lensois avait pourtant décidé de largement remanier son onze de départ. Comme l'illustre la feuille de match, pas moins de huit habituels remplaçants étaient alignés au coup d'envoi, une occasion en or pour eux de bousculer la hiérarchie. Malheureusement, la réponse sur le terrain a été loin des attentes. Les offensifs Abdallah Sima et Morgan Guilavogui ont traversé la rencontre dans un quasi-anonymat, peinant à se créer des situations franches face à une défense de National 2 pourtant à leur portée. Plus inquiétant encore, Florian Sotoca, repositionné dans l'entrejeu pour apporter son volume de jeu, a affiché des limites criantes. L'ancien taulier semble accuser le coup physiquement, confirmant l'impression d'un gros déclin amorcé depuis plusieurs mois.
Au-delà de la performance collective poussive, tous les regards étaient braqués sur le flanc gauche de la défense. Suite au départ acté de Deiver Machado vers le FC Nantes, Pierre Sage espérait trouver une solution interne en la personne d'Anthony Bermont.
Le jeune espoir, aligné comme piston gauche pour suppléer Matthieu Udol, passait un véritable crash-test. Le verdict est malheureusement sans appel : Bermont n'a jamais semblé à l'aise dans ce rôle hybride exigeant, manquant d'impact offensif et de rigueur dans le repli. Une prestation loupée qui envoie un signal fort à la direction sportive. Comme le suggère ce match, le bricolage ne suffira pas pour la deuxième partie de saison. Pierre Sage se voit donc conforté dans son analyse initiale : le recrutement d'un spécialiste au poste de piston gauche devient une nécessité lors du mercato hivernal pour compenser la perte de Machado et maintenir les ambitions artésiennes.