Malang Sarr n'est plus ce joueur discret critiqué lors de sa première saison au RC Lens. Le défenseur franco-sénégalais devenu un rouage essentiel du RC Lens version Pierre Sage, vient de recevoir l'un des plus beaux compliments qu'un entraîneur puisse adresser à son joueur.
« Malang Sarr, où il est surprenant, c'est qu'on voit quand il joue, et on voit aussi quand il ne joue pas », a lâché le technicien lensois en conférence de presse. Cette phrase, simple en apparence, est un bon petit coup de pression adressé aux joueurs lensois, et résume tout le paradoxe du défenseur de 26 ans.
La déclaration de Sage prend tout son sens quand on se replonge dans le fiasco messin. Fin octobre, le coach sang et or avait écarté Sarr du groupe pour un retard de deux minutes à la causerie. Résultat ? Une défaite 2-0 contre la lanterne rouge, avec une défense fébrile.
L'absence de Sarr n'était clairement pas passée inaperçue. Deiver Machado, à court de rythme, et Matthieu Udol ont tenté de colmater, mais le RC Lens n'a joué que sur son flanc droit. Sans son patron défensif, l'équipe artésienne a livré « sa plus pâle copie de la saison ». Quatre jours plus tard face à Lorient (3-0), Sarr était de retour. Clean sheet et note de 7,9 sur Sofascore. Le message était clair.
Le natif de Nice enchaîne les performances solides depuis l'arrivée de Pierre Sage en août. Titulaire indiscutable, il a disputé 900 minutes pleines en Ligue 1. Une régularité qui tranche avec sa première saison laborieuse à Lens après un an sans jouer à Chelsea.
Qui aurait cru que Malang Sarr devienne indiscutable et qu'une prolongation de contrat jusqu'en 2028 soit sur la table ? Pas grande monde. En tout cas une chose est sûre : avec un Sarr indétrônable, un Samson Baidoo en feu depuis plusieurs semaines, et un Jonathan Gradit en mode grand frère expérimenté, les autres défenseurs centraux devront se contenter des miettes cette saison.
« Malang Sarr, où il est surprenant, c'est qu'on voit quand il joue, et on voit aussi quand il ne joue pas », a lâché le technicien lensois en conférence de presse. Cette phrase, simple en apparence, est un bon petit coup de pression adressé aux joueurs lensois, et résume tout le paradoxe du défenseur de 26 ans.
La déclaration de Sage prend tout son sens quand on se replonge dans le fiasco messin. Fin octobre, le coach sang et or avait écarté Sarr du groupe pour un retard de deux minutes à la causerie. Résultat ? Une défaite 2-0 contre la lanterne rouge, avec une défense fébrile.
L'absence de Sarr n'était clairement pas passée inaperçue. Deiver Machado, à court de rythme, et Matthieu Udol ont tenté de colmater, mais le RC Lens n'a joué que sur son flanc droit. Sans son patron défensif, l'équipe artésienne a livré « sa plus pâle copie de la saison ». Quatre jours plus tard face à Lorient (3-0), Sarr était de retour. Clean sheet et note de 7,9 sur Sofascore. Le message était clair.
Le natif de Nice enchaîne les performances solides depuis l'arrivée de Pierre Sage en août. Titulaire indiscutable, il a disputé 900 minutes pleines en Ligue 1. Une régularité qui tranche avec sa première saison laborieuse à Lens après un an sans jouer à Chelsea.
Qui aurait cru que Malang Sarr devienne indiscutable et qu'une prolongation de contrat jusqu'en 2028 soit sur la table ? Pas grande monde. En tout cas une chose est sûre : avec un Sarr indétrônable, un Samson Baidoo en feu depuis plusieurs semaines, et un Jonathan Gradit en mode grand frère expérimenté, les autres défenseurs centraux devront se contenter des miettes cette saison.
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