Emanuel Emegha n'a même pas encore posé les pieds à Stamford Bridge qu'il fait déjà polémique. Le futur attaquant des Blues, suspendu par Strasbourg pour attitude inappropriée, cristallise les doutes outre-Manche. Et si Chelsea s'était trompé d'attaquant ?
La nouvelle a fait l'effet d'une bombe. Emegha, capitaine du RC Strasbourg et futur pensionnaire de Chelsea dès l'été prochain, vient d'être suspendu un match par son club. La raison ? Des déclarations jugées irrespectueuses envers l'institution alsacienne. Le Néerlandais s'était notamment permis d'affirmer après son doublé contre Lille que Strasbourg n'avait battu aucun gros cette saison parce qu'il était absent. Pire encore, il avait confié qu'il pensait que Strasbourg se trouvait en Allemagne avant son arrivée.
Des propos qui ont fait tache. Et qui résonnent désormais jusqu'en Angleterre. Selon The Sun, cette suspension suscite des inquiétudes chez certains supporters de Chelsea quant à l'attitude et la maturité du joueur. Certains fans n'hésitent pas à remettre en question le recrutement : "On doit trouver un moyen de l'envoyer ailleurs et de faire venir Panichelli", peut-on lire sur les réseaux sociaux. The Chelsea Chronicle enfonce le clou : "Ce genre de sanction n'est jamais bon signe. Le comportement d'Emegha est préoccupant. En tant que capitaine du club, il ne devrait pas se trouver dans une telle situation".
Et justement, parlons-en de Joaquín Panichelli. L'Argentin de 23 ans fait sensation à Strasbourg cette saison avec 9 buts en Ligue 1. Deuxième meilleur buteur du championnat, il a notamment inscrit un doublé contre le PSG qui a marqué les esprits. Son coach Liam Rosenior n'a pas tari d'éloges : "Je n'ai jamais vu un numéro 9 jouer un tel match, surtout comme pivot. Il a une grande mentalité".
Sur les réseaux sociaux de Chelsea, le débat fait rage. Les statistiques parlent d'elles-mêmes : Panichelli affiche 9 buts sans penalty et 1 passe décisive en 14 matchs cette saison. Emegha, lui, cumule 7 buts et 2 passes en 11 apparitions. Mais au-delà des chiffres, c'est surtout l'attitude qui fait la différence. Panichelli est décrit comme humble et professionnel. Emegha, lui, multiplie les faux pas médiatiques.
La nouvelle a fait l'effet d'une bombe. Emegha, capitaine du RC Strasbourg et futur pensionnaire de Chelsea dès l'été prochain, vient d'être suspendu un match par son club. La raison ? Des déclarations jugées irrespectueuses envers l'institution alsacienne. Le Néerlandais s'était notamment permis d'affirmer après son doublé contre Lille que Strasbourg n'avait battu aucun gros cette saison parce qu'il était absent. Pire encore, il avait confié qu'il pensait que Strasbourg se trouvait en Allemagne avant son arrivée.
Des propos qui ont fait tache. Et qui résonnent désormais jusqu'en Angleterre. Selon The Sun, cette suspension suscite des inquiétudes chez certains supporters de Chelsea quant à l'attitude et la maturité du joueur. Certains fans n'hésitent pas à remettre en question le recrutement : "On doit trouver un moyen de l'envoyer ailleurs et de faire venir Panichelli", peut-on lire sur les réseaux sociaux. The Chelsea Chronicle enfonce le clou : "Ce genre de sanction n'est jamais bon signe. Le comportement d'Emegha est préoccupant. En tant que capitaine du club, il ne devrait pas se trouver dans une telle situation".
Et justement, parlons-en de Joaquín Panichelli. L'Argentin de 23 ans fait sensation à Strasbourg cette saison avec 9 buts en Ligue 1. Deuxième meilleur buteur du championnat, il a notamment inscrit un doublé contre le PSG qui a marqué les esprits. Son coach Liam Rosenior n'a pas tari d'éloges : "Je n'ai jamais vu un numéro 9 jouer un tel match, surtout comme pivot. Il a une grande mentalité".
Sur les réseaux sociaux de Chelsea, le débat fait rage. Les statistiques parlent d'elles-mêmes : Panichelli affiche 9 buts sans penalty et 1 passe décisive en 14 matchs cette saison. Emegha, lui, cumule 7 buts et 2 passes en 11 apparitions. Mais au-delà des chiffres, c'est surtout l'attitude qui fait la différence. Panichelli est décrit comme humble et professionnel. Emegha, lui, multiplie les faux pas médiatiques.